Pygmalion

mass market paperback, 112 pages

Langue : English

Publié juillet 1973 par Washington Square Press, Pocket Books.

ISBN :
978-0-671-47511-6
ISBN copié !
Numéro OCLC :
15530307

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(1 critique)

When George Bernard Shaw wrote Pygmalion more than a half century ago, it seemed unlikely that his little play would eventually be converted into one of the great musicals of our time, My Fair Lady, and a modtion picture that captured numerous Academy Awards. Yet such popularity should not have been surprising since succeeding generations of readers and playgoers find continual relevance in the story of a speech therapist who successfully converts an untutored flower girl into a darling of high society. The extraordinary wit of the master dramatist of the twentieth century has not lost its sharp edge as it cuts away at the artificiality of lcass distinctions and the callousness of indifference to human worth. (back cover)

50 éditions

a publié une critique de Pygmalion par George Bernard Shaw

Pygmalion

Dès le prologue, Bernard Shaw lance un clash en accusant les anglais de ne pas savoir parler leur propre langue, de ne pas savoir la prononcer ni l'épeler. Il désespère qu'on n'accorde pas l'attention qui leur est due aux linguistes et chercheurs en phonétique, qui seraient des sciences majeures. C'est assez drôle et délectable à lire, même si je pense que ça n'a pas été écrit dans un but humoristique mais bien au premier degré. Il explique s'être inspiré, pour cette œuvre, d'un personnage réel, expert absolu d'une science fort sous-estimée, et on commence déjà à se douter que la pièce qu'on s'apprête à lire sera une démonstration didactique des bienfaits de la phonétique. Mais d'un côté c'est revendiqué par l'auteur comme une vertu : l'art devrait être didactique selon lui. D'autre part, Pygmalion est beaucoup plus que ça. La pièce est assez vive et drôle, les dialogues et personnages …