15.4x 21.4 cm, 212 pages
Langue : fr
Publié 25 avril 2025 par Shed publishing.
Pour une lecture anti-impérialiste de la transféminité
15.4x 21.4 cm, 212 pages
Langue : fr
Publié 25 avril 2025 par Shed publishing.
Pourquoi les femmes trans sont-elles les plus ciblées au sein de la communauté LGBTQIA+ ? Pourquoi sont-elles au cœur d’une résurgence mondiale de politiques réactionnaires transphobes ? Et comment pouvons-nous répondre collectivement à cette violence ?
Cet ouvrage analyse les violences faites aux femmes trans en les inscrivant au cœur de l’histoire de la modernité et des systèmes coloniaux occidentaux. Afin de prendre la mesure des violences transmisogynes à l’échelle mondiale tout en explorant la diversité des modes de vie marginalisés aujourd’hui regroupés sous l’étiquette “trans”, l’autrice nous entraine de New York à la Nouvelle-Orléans, de l’Inde britannique au Brésil.
À travers une approche matérialiste, l’historienne Jules Gill-Peterson propose le concept de “transféminisation” pour retracer les processus politiques par lesquels certaines formes de féminité, souvent racialisées, sont ciblées, notamment par les attaques de la droite et de l’extrême droite.
Elle pose aussi un regard critique sur le modèle identitaire qui …
Pourquoi les femmes trans sont-elles les plus ciblées au sein de la communauté LGBTQIA+ ? Pourquoi sont-elles au cœur d’une résurgence mondiale de politiques réactionnaires transphobes ? Et comment pouvons-nous répondre collectivement à cette violence ?
Cet ouvrage analyse les violences faites aux femmes trans en les inscrivant au cœur de l’histoire de la modernité et des systèmes coloniaux occidentaux. Afin de prendre la mesure des violences transmisogynes à l’échelle mondiale tout en explorant la diversité des modes de vie marginalisés aujourd’hui regroupés sous l’étiquette “trans”, l’autrice nous entraine de New York à la Nouvelle-Orléans, de l’Inde britannique au Brésil.
À travers une approche matérialiste, l’historienne Jules Gill-Peterson propose le concept de “transféminisation” pour retracer les processus politiques par lesquels certaines formes de féminité, souvent racialisées, sont ciblées, notamment par les attaques de la droite et de l’extrême droite.
Elle pose aussi un regard critique sur le modèle identitaire qui domine le militantisme LGBTQIA+ mainstream en rappelant les liens historiques entre la condition – moderne – de femme trans, la classe ouvrière et le travail du sexe.