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Bourgeoisie new-yorkaise, Grande Dépression, Wall Street... des sujets loin de mes intérêts, j'avais quelques réticences à commencer la lecture du roman de Hernan Diaz. Mais le style — un brin suranné — et les interrogations qui commencent à poindre dès les premières pages m'ont permis de me délester de ces aprioris. Le génie de l'auteur réside dans le procédé narratif. Sur ce point, je vous incite fortement à ne pas vous renseigner davantage, vous permettant ainsi d'en profiter pleinement et de le laisser se révéler au fur et à mesure de votre lecture. Je ne regrette donc pas d'avoir suivi l'avis de l'hebdomadaire dans lequel j'ai découvert le roman, une manière d'élargir ses horizons au-delà de sa zone de confort.

I didn’t love this the way I did Diaz’s first book—this one felt a bit more obvious in how it was going to go about telling the story I could feel it wanted to tell about money. But it was also a good story, so I forgave some of its faults