Feydra a cité Le dernier onirigraphe par Julie Muller Volb (Onirie, #1)
C’est douloureux tout le temps de côtoyer trop de monde en même temps. Le bruit, les émotions, les faux semblants, les masques, les éclats de rire, les questions, le tourbillon de paroles, de gestes, de messages à lire sur les corps des gens et leurs visages, l’afflux d’informations à traiter, la violence des mots, des jugements, des contacts, puis la rapidité à laquelle il faut suivre...
— Le dernier onirigraphe de Julie Muller Volb (Onirie, #1)