Docalabordage a publié une critique de Et le désert disparaîtra par Marie Pavlenko
Bonne pioche sur cette thématique
Samaa vit dans le désert, dans une petite communauté où les chasseurs, tous des hommes, partent des semaines à la recherche de ce qui permettra à la communauté de survivre, notamment en vendant le bohis en ville, ce matériau issu des arbres que les chasseurs doivent débusquer dans des recoins du désert. Samaa est décidé à rejoindre la prochaine expédition pour devenir la première chasseuse. Suivant clandestinement le groupe des hommes, elle va se retrouver isolée, à la merci des bêtes sauvages, coincée auprès d’un arbre. Elle va comprendre alors ce qui les rend indispensable à la vie.
C’est un roman d’anticipation, même si l’essentiel ne me semble pas là. Le désert est partout, sauf dans des centres urbains hostiles. L’essentiel du message tourne autour du rapport de la narratrice et de son peuple à la nature, à la vie, aux autres espèces. Le texte oscille entre récit d’aventure et …
Samaa vit dans le désert, dans une petite communauté où les chasseurs, tous des hommes, partent des semaines à la recherche de ce qui permettra à la communauté de survivre, notamment en vendant le bohis en ville, ce matériau issu des arbres que les chasseurs doivent débusquer dans des recoins du désert. Samaa est décidé à rejoindre la prochaine expédition pour devenir la première chasseuse. Suivant clandestinement le groupe des hommes, elle va se retrouver isolée, à la merci des bêtes sauvages, coincée auprès d’un arbre. Elle va comprendre alors ce qui les rend indispensable à la vie.
C’est un roman d’anticipation, même si l’essentiel ne me semble pas là. Le désert est partout, sauf dans des centres urbains hostiles. L’essentiel du message tourne autour du rapport de la narratrice et de son peuple à la nature, à la vie, aux autres espèces. Le texte oscille entre récit d’aventure et contemplation poétique ; avec l’expédition vers des terres dangereuses et l’émerveillement face aux arbres, que ce peuple ne connait pas, au point que les mots de « feuilles » et « branches » leurs sont étrangers, au point qu’ils ne savent pas comment ils poussent ; la découverte, comme dans un sanctuaire d’un arbre et de la vie qui s’y cache.
Le message est positif, puisque Samaa réussit à faire repousser des arbres.
Bonne pioche sur cette thématique