Nobody a cité Les Chants de Maldoror par Lautréamont
Il contemple la lune qui verse, sur sa poitrine, un cône de rayons extatiques, où palpitent, comme des phalènes, des atomes d'argent d'une douceur ineffable. Il attend que le crépuscule du matin vienne apporter, par le changement de décors, un dérisoire soulagement à son cœur bouleversé.
— Les Chants de Maldoror de Lautréamont (Page 281)