Nobody a terminé la lecture de L'ami du prince par Marianne Jaeglé

L'ami du prince de Marianne Jaeglé
12 avril 65 après Jésus-Christ, dans les environs de Rome. Des soldats en armes envahissent la villa de Sénèque, porteurs …
Lectures éclectiques : littérature "classique", SF, Fantasy, BD/mangas, poésie...
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12 avril 65 après Jésus-Christ, dans les environs de Rome. Des soldats en armes envahissent la villa de Sénèque, porteurs …
Ce 2ème tome vient confirmer ma première bonne impression. L’auteur parvient à intégrer à son Battle Royale SF des sujet sociétaux (harcèlement scolaire, sexisme, viol, inégalités sociales…), ce qui confère autant de motivations et d’humanité à ses personnages.
Tous les adultes sont morts à bord du Léviathan, et seuls deux élèves savent que les secours ne viendront pas. …
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12 avril 65 après Jésus-Christ, dans les environs de Rome. Des soldats en armes envahissent la villa de Sénèque, porteurs …
Dans une Amérique où le Mal a triomphé, une Amérique quadrillée par les milices de Ferris F. Fremont, que faire …
Ah ! qu'il fait doux danser quand pour vous se déclare Un mirage où tout chante et que les vents d'horreur Feignent d'être le rire de la lune hilare Et d'effrayer les fantômes avant-coureurs
— Alcools de Guillaume Apollinaire (Page 82)
1986, Düsseldorf, Allemagne de l'Ouest. Un jour, le Dr Tenma décide d'ignorer l'ordre de son supérieur et sauve la vie …
Comme d’habitude, j’ai dévoré les 600 pages en un temps record. Le cycle de Syffe c’est un peu mon petit plaisir coupable. J’avais emprunté le premier tome à la médiathèque, par curiosité ; celui-ci est le 4ème et je l’ai acheté dès sa sortie. Comme quoi, les médiathèques sont des outils de promotion efficaces.
Donc, je mentirais si je disais que je n’avais pas apprécié. Ceci étant, il y a quand même certains détails dans sa prose qui me dérangent un peu, et que j’ai retrouvés dans tous ses livres :
Le recours excessif (à mon goût) à des mots obscurs qui oblige à avoir en permanence un dico à portée de main,
Les références fréquentes à son lore via des mots imaginaires qui sont rarement expliqués. Au bout de 4 tomes de 600 pages, je pense que ça mériterait quand même un index.
Beaucoup de superflu (je trouve) avec …
Comme d’habitude, j’ai dévoré les 600 pages en un temps record. Le cycle de Syffe c’est un peu mon petit plaisir coupable. J’avais emprunté le premier tome à la médiathèque, par curiosité ; celui-ci est le 4ème et je l’ai acheté dès sa sortie. Comme quoi, les médiathèques sont des outils de promotion efficaces.
Donc, je mentirais si je disais que je n’avais pas apprécié. Ceci étant, il y a quand même certains détails dans sa prose qui me dérangent un peu, et que j’ai retrouvés dans tous ses livres :
Le recours excessif (à mon goût) à des mots obscurs qui oblige à avoir en permanence un dico à portée de main,
Les références fréquentes à son lore via des mots imaginaires qui sont rarement expliqués. Au bout de 4 tomes de 600 pages, je pense que ça mériterait quand même un index.
Beaucoup de superflu (je trouve) avec de longues descriptions d’à peu près n’importe quoi, et une quasi-absence d’ellipse.
Je comprends que tous ces points sont clairement des choix d’écriture visant à rendre le récit plus immersif. D’ailleurs, il répond lui-même au 3ème point dans ce livre, d’une manière un peu méta, à travers le narrateur qui critique la manière dont les récits d’aventure sont idéalisés et expurgés de tous les détails plus terre-à-terre qui pourraient nuire à leur côté épique. Soit. Malgré tout, je pense que s’il était un peu moins intransigeant et qu’il faisait quelques concessions au confort du lecteur, ses livres n’en seraient que plus agréables à lire et personne ne s’en plaindrait. Voilà.
Ceci dit, ça m’empêchera pas d’acheter le suivant :p
Ce premier tome semble poser les prémices d’un Battle Royale dans un vaisseau spatial à la dérive. J’ai bien aimé la narration indirecte, par l’intermédiaire d’un journal retrouvé longtemps après les faits, qui joue entre l’incrédulité des lecteurs et leur découverte progressive de signes semblant confirmer la réalité du récit au fur et mesure de leur exploration. Très beaux dessins également, qui font la part belle aux visages et aux expressions des protagonistes, dans un style hyperréaliste. On en oublierait presque les incohérences de l’histoire. Mais est-ce que ce sont vraiment des incohérences, ou bien est-ce le journal qui ne nous dit pas tout ?...
En tout cas, j’ai suffisamment apprécié pour avoir envie de lire la suite.
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