Anthony a cité Les villes invisibles par Italo Calvino
Je pensai : « On arrive à un moment dans la vie où, parmi les gens qu’on a connus, les morts sont plus nombreux que les vivants. Et l’esprit refuse d’accepter d’autres physionomies, d’autres expressions : sur tous les visages nouveaux qu’il rencontre, il imprime de vieux moules, pour chacun il trouve le masque qui s’adapte le mieux. »
— Les villes invisibles de Italo Calvino (47%)