Les premières pages seront consacrées à ces pauvres braves ambulancières, condamnées à mort et qu’on a dirigées sur Cayenne, où le climat est meurtrier, parce qu’elles avaient soigné les blessés de la Commune et, en passant, ceux de Versailles, quand il s’en trouvait d’abandonnés. Les blessés n’ont pas de camp ; souvent il fut opportun aux Versaillais d’en abandonner. Dame ! ça gênait pour mieux canarder.
— Mémoires de Louise Michel écrits par elle-même de Louise Michel (79%)