Anthony a cité Lettres Persanes par Montesquieu
Le vin est si cher à Paris, par les impôts que l’on y met, qu’il semble qu’on ait entrepris d’y faire exécuter les precepts du divin Alcoran, qui défend d’en boire. Lorsque je pense aux funestes effets de cette liqueur, je ne puis m’empêcher de la regarder comme le présent le plus redoutable que la nature ait fait aux hommes. Si quelque chose a flétri la vie et la réputation de nos monarques, ç’a été leur intempérance ; c’est la source la plus empoisonnée de leurs injustices et de leurs cruautés.
— Lettres Persanes de Montesquieu (16%)