Anthony a cité Gouines par Marie Kirschen
Je reviendrai quelques mois plus tard en voulant lui dire, à ma grand-mère, ce que je n'ai jamais réussi à lui avouer, ce que j'ai étouffé, ce que j'ai maquillé – comme à Tata N., pour la préserver. J'aurais voulu lui dire, à ma grand-mère, que je suis amoureuse tout le temps, d'un sourire, d'une éclaircie, d'un pétale, d'une odeur ; et que lorsque j'aime une femme, mes battements sont carnaval et pluie d'été. (« A une lettre près » de Meryem Alqamar)
— Gouines de Marie Kirschen, Maëlle Le Corre (Page 40)