Anthony a cité La chair est triste hélas par Ovidie
Je ne hais pas les hommes, que ce soit dit. Il en existe certains pour qui j’éprouve une affection infinie. Je ne les hais pas en tant qu’individus, je les hais au lit, nuance. Je ne les déteste pas en tant que groupe social homogène, constitué de sujets victimes d’une prédisposition génétique à devenir de gros connards. Non, je veux juste ne plus jamais avoir à coucher avec eux.