Catherine Rideau-Kikuchi commented on L'Idiot by Fyodor Dostoevsky
Je ne saurai sans doute jamais ce qui relève du traducteur ou de l'auteur... mais le rythme de ce texte est à la fois profondément angoissé sans être pour autant angoissant. On sait intimement que tout va mal se finir, et la fin arrive comme une libération. Enfin, être hors du monde. Enfin, être seul.