Nicolas Fressengeas a commencé la lecture de Récits par H.P. Lovecraft
Lovecraft à la Pléiade ! C'est parti. Mythique avant même d'être ouvert !
1048 pages ? C'est sans compter l'introduction, les notices et les notes : le chiffre est sous estimé d'au moins un tiers.
Et pourtant, le volume tient dans la main, tellement les pages sont fines. Associées à une police de caractère toute aussi menue : et voilà une densité volumique d'information impressionnante pour un livre !
Mais foin de ces villes considérations matérielles ! Et attaquons cette nouvelle traduction à partir des manuscrits originaux de l'auteur.
La très longue introduction n'est pas à enjamber : elle plante le décor de cette édition, dans un soucis du respect de l'oeuvre de l'auteur, permettant ainsi de deviner ce qui se cache entre les lignes.