Nicolas Fressengeas a cité Bikepunk par Ploum
Un sac sur le dos ou sur la selle, les humains s'aventuraient parfois hors des villes. Pour quelques heures ou quelques jours, les immeubles laissaient la place aux arbres, le chant des oiseaux remplaçait le bruit des voitures La solitude des paysages se substituait aux conversations incessantes.
Malgré l'épuisement la saleté et la puanteur un énorme sourire traversait le visage de celleux qui rentraient chez iels les muscles douloureux et le corps couvert d' écorchures.
"Rien", répondaient-iels à celleux qui leur demandaient quel équipement moderne connecté leur avait le plus manqué durant l'expédition. À la question "Alors, c'était bien?", la langue se trouvait démunie pour répondre autrement que par un regard lointain .
Un regard qui se portait déjà sur la prochaine aventure.
Touchant résumé du besoin parfois irrépressible d'être ce #bikepunk.
Au moins temporairement.