s_mailler a cité Je suis ma liberté par Nasser Abu Srour
En prison, les corps deviennent une pitance pour les murs qui se nourrissent sans cesse de leur chair, jamais repus. Ils deviennent un sujet ennuyeux et pathétique. Ils grandissent, vieillissent, déclinent, perdent le goût de vivre. Ils nous rappellent nos entraves, car rien en nous n'accepte d'être enchaîné à part nos corps.
— Je suis ma liberté de Nasser Abu Srour (Page 220)