s_mailler a cité Dors ton sommeil de brute par Carole Martinez
Sur Santiago, je regardais la maison de Serge s'éloigner, comme si c'était elle qui me quittait et poursuivait sa route. Je lui ai dit adieu, sans trop savoir pourquoi. Cette fois, nous gagnions vraiment l'espace sauvage.
— Dors ton sommeil de brute de Carole Martinez (Page 346)
