Mara a noté La Cité Diaphane : 5 étoiles
La Cité Diaphane de Anouck Faure
Merveille architecturale élancée vers le ciel, Roche-Étoile a connu la splendeur et la chute. La cité sainte de la déesse …
Férue de littérature de l'imaginaire (fantasy et steampunk surtout) avec une pointe de young adult 🐉 Mastodon : @Mara@eldritch.cafe
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Merveille architecturale élancée vers le ciel, Roche-Étoile a connu la splendeur et la chute. La cité sainte de la déesse …
2023 n’est pas terminée, mais je sais déjà que ce livre sera mon coup de cœur de cette année. Cette lecture m’a séduite du début à la fin. Que ce soient les personnages incarnés et charismatiques (même le plus insignifiant d’entre eux) ; ces pierres d’albâtre qui suintent la mélancolie ; ce récit d’amour, d’ambitions démesurées et de trahison…
C’était beau. Pas seulement car l’autrice écrit très bien - ce qui ne gâche rien ! mais parce que l’histoire, en elle-même, est majestueuse. J’ai eu la sensation de m’immerger dans un univers foisonnant, poétique et tout en nuances de gris comme savent le faire les scénaristes des jeux Dark Souls (dont l’autrice est apparemment une grande fan). Un calme trompeur, des créatures difformes, des panoramas à couper le souffle et les vestiges de temps révolus m’ont accompagnée au fil de ma lecture. Autant de merveilles gracieusement illustrées par les gravures …
2023 n’est pas terminée, mais je sais déjà que ce livre sera mon coup de cœur de cette année. Cette lecture m’a séduite du début à la fin. Que ce soient les personnages incarnés et charismatiques (même le plus insignifiant d’entre eux) ; ces pierres d’albâtre qui suintent la mélancolie ; ce récit d’amour, d’ambitions démesurées et de trahison…
C’était beau. Pas seulement car l’autrice écrit très bien - ce qui ne gâche rien ! mais parce que l’histoire, en elle-même, est majestueuse. J’ai eu la sensation de m’immerger dans un univers foisonnant, poétique et tout en nuances de gris comme savent le faire les scénaristes des jeux Dark Souls (dont l’autrice est apparemment une grande fan). Un calme trompeur, des créatures difformes, des panoramas à couper le souffle et les vestiges de temps révolus m’ont accompagnée au fil de ma lecture. Autant de merveilles gracieusement illustrées par les gravures de l’autrices qui ponctuent les scènes marquantes de l’histoire tout au long du roman.
Il y a de la beauté dans la monstruosité et, comme c’est le cas pour ces jeux, les destins des âmes tourmentées ont souvent une issue tragique…
Merveille architecturale élancée vers le ciel, Roche-Étoile a connu la splendeur et la chute. La cité sainte de la déesse …
Après avoir vu la série Netflix, il était temps de découvrir les livres ! Je suis agréablement surprise. Contrairement au 1er, ce tome-ci est moins "à l'eau de rose", moins niais, et les personnages très attachants. J'ai tout de suite été prise par l'histoire d'Anthony et Kate, et j'ai apprécié en découvrir davantage sur leurs petits tracas. Le gros point fort du roman est l'évolution de leur relation, qui passe d'ennemis jurés à l'amitié, puis à l'amour. Pas beaucoup de suspens, mais un régal à suivre !
Elle est humaine et se rêve en monstre, lui est un monstre qui se rêve humain
La capitale de Verity …
J'ai retrouvé tout ce que j'aimais chez V.E Schwab dans This savage song : une histoire qui fait frissonner, trembler, et des émotions polychromes. Le pitch initial ne m'attirait pas vraiment : une ville divisée en deux, les monstres au sud et les humains au nord, avec une trêve fragile dont on sait qu'elle ne durera pas... mais j'ai été rattrapée par la plume de l'autrice. Quelques pages et j'étais embarquée !
Dans ce roman on va donc suivre Kate, la fille du chef des humains, et August (quel joli nom !), le fils du chef des monstres. Tous deux fréquentent la même école, et si August sait qui est Kate, Kate ignore la véritable nature d'August. Ils vont se retrouver au cœur de jeux de pouvoir qui les dépassent, et c'est un régal de les voir se rapprocher, se repousser, se lier, s'apprivoiser malgré leurs préjugés et méfiances respectives. …
J'ai retrouvé tout ce que j'aimais chez V.E Schwab dans This savage song : une histoire qui fait frissonner, trembler, et des émotions polychromes. Le pitch initial ne m'attirait pas vraiment : une ville divisée en deux, les monstres au sud et les humains au nord, avec une trêve fragile dont on sait qu'elle ne durera pas... mais j'ai été rattrapée par la plume de l'autrice. Quelques pages et j'étais embarquée !
Dans ce roman on va donc suivre Kate, la fille du chef des humains, et August (quel joli nom !), le fils du chef des monstres. Tous deux fréquentent la même école, et si August sait qui est Kate, Kate ignore la véritable nature d'August. Ils vont se retrouver au cœur de jeux de pouvoir qui les dépassent, et c'est un régal de les voir se rapprocher, se repousser, se lier, s'apprivoiser malgré leurs préjugés et méfiances respectives.
Ma seule petite frustration est de ne pas en avoir appris davantage sur certains personnages secondaires (je pense à Ilsa, la sœur de l'un des héros, qui est très mystérieuse.)
Volume 1 of The Mirror Visitor Quartet
Winner of the Grand Prix de l’Imaginaire
Where once there was unity, vastly …
Pour ma lecture de février, j'ai choisi de redécouvrir le premier tome d'une saga que j'avais beaucoup appréciée à sa sortie mais dont je ne me rappelais plus grand chose. C'était pour moi une "lecture doudou".
Même si avec le recul quelques aspects m'ont moins plu qu'à l'époque, j'ai été emportée par l'univers (qui n'est pas sans rappeler ceux des films Ghibli) et les personnages, qui sont les points forts de cette histoire. Des personnages colorées et originaux, charismatiques et séduisants, tout en nuances. Que ce soit Ophélie (que j'aime encore plus maintenant), Thorn... et la surprenante tante Rosaline dont je suis désormais une adoratrice sans faille.
En revanche j'ai trouvé le début un peu lent. J'attendais que ça décolle. Je suis un peu restée sur ma faim, même si c'est une très bonne introduction à l'univers de Christelle Dabos et aux enjeux de l'intrigue. Dans mes souvenirs, ça devient …
Pour ma lecture de février, j'ai choisi de redécouvrir le premier tome d'une saga que j'avais beaucoup appréciée à sa sortie mais dont je ne me rappelais plus grand chose. C'était pour moi une "lecture doudou".
Même si avec le recul quelques aspects m'ont moins plu qu'à l'époque, j'ai été emportée par l'univers (qui n'est pas sans rappeler ceux des films Ghibli) et les personnages, qui sont les points forts de cette histoire. Des personnages colorées et originaux, charismatiques et séduisants, tout en nuances. Que ce soit Ophélie (que j'aime encore plus maintenant), Thorn... et la surprenante tante Rosaline dont je suis désormais une adoratrice sans faille.
En revanche j'ai trouvé le début un peu lent. J'attendais que ça décolle. Je suis un peu restée sur ma faim, même si c'est une très bonne introduction à l'univers de Christelle Dabos et aux enjeux de l'intrigue. Dans mes souvenirs, ça devient encore plus prenant par la suite ! Ça tombe bien, j'ai déjà le tome 2 sous le coude...
Les dominos sont en place depuis des siècles déjà... Un tremblement de terre et ils vont tous tomber.
Piégée sur …
Deux sœurs séparées par un océan cherchent à se retrouver par tous les moyens. L'une isolée sur une île déserte et privée de ses souvenirs, l'autre au cœur d'une cité cosmopolite perdue dans les nuages.
Séduite par ce pitch, j'ai plongé dans cette histoire de Célia et Kasey, alternant leurs points de vue. Deux voix très différentes : Célia est très humaine, chaleureuse et spontanée, alors que Kasey est davantage cartésienne et pragmatique. Froide, au premier abord, même si j'ai appris à l'apprécier.
Je ne m'étais en revanche pas attendue à m'immerger dans un univers SF et dystopique où les enjeux écologies et sociaux plongent l'humanité dans une crise sans précédent !
Le livre a failli me tomber des mains plusieurs fois au cours des premiers chapitres. La première partie du roman est un peu poussive, et je ne voyais pas où l'histoire voulait m'emmener. Mais après quelques rebondissements (surtout …
Deux sœurs séparées par un océan cherchent à se retrouver par tous les moyens. L'une isolée sur une île déserte et privée de ses souvenirs, l'autre au cœur d'une cité cosmopolite perdue dans les nuages.
Séduite par ce pitch, j'ai plongé dans cette histoire de Célia et Kasey, alternant leurs points de vue. Deux voix très différentes : Célia est très humaine, chaleureuse et spontanée, alors que Kasey est davantage cartésienne et pragmatique. Froide, au premier abord, même si j'ai appris à l'apprécier.
Je ne m'étais en revanche pas attendue à m'immerger dans un univers SF et dystopique où les enjeux écologies et sociaux plongent l'humanité dans une crise sans précédent !
Le livre a failli me tomber des mains plusieurs fois au cours des premiers chapitres. La première partie du roman est un peu poussive, et je ne voyais pas où l'histoire voulait m'emmener. Mais après quelques rebondissements (surtout un très gros twist en plein milieu !), l'intrigue décolle et ne laisse plus le temps de respirer. Il fallait aller au bout, comprendre ce qui s'était passé !
Ce roman se lit comme un puzzle, et chaque petit détail a son importance. Il y a du mystère, de la tendresse, et même quelques réflexions philosophiques glissées au hasard des pages... mais cela reste une histoire d'amour : celle de deux soeurs. La fin ne fait pas l'unanimité, moi elle m'a séduite. Un roman qui laisse une trace, même après la dernière page tournée.
Le Dragon, le Tigre, le Kirin, la Tortue, le Phénix. Cinq clans composant un empire. Une matière magique qui exprime …
Il me tardait de découvrir ce roman, en m'immergeant dans son univers inspiré du Japon, tout en poésie et élégance. La plume de Célia Flaux est habile comme l'aiguille d'une brodeuse aguerrie et dépeint un monde riche, tantôt chatoyant, parfois dangereux, toujours onirique.
Les personnages, tous très attachants et hauts en couleur, m'ont tout de suite happée, de même que l'intrigue qui démarre très vite : pas le temps de s'ennuyer ! (Ce qui est important pour moi, qui ai tendance à vite décrocher de mes lectures.)
J'ai particulièrement apprécié de suivre les péripéties et les thèmes qu'affrontent Tomoë, la mystérieuse héroïne de cette histoire, et ses compagnons de voyage. En achevant ma lecture, j'étais à la fois comblée et un peu triste de dire au-revoir à ceux qui étaient un peu devenus une bande de copains (ce qui, maintenant que j'y pense, me fait le même effet qu'après avoir …
Il me tardait de découvrir ce roman, en m'immergeant dans son univers inspiré du Japon, tout en poésie et élégance. La plume de Célia Flaux est habile comme l'aiguille d'une brodeuse aguerrie et dépeint un monde riche, tantôt chatoyant, parfois dangereux, toujours onirique.
Les personnages, tous très attachants et hauts en couleur, m'ont tout de suite happée, de même que l'intrigue qui démarre très vite : pas le temps de s'ennuyer ! (Ce qui est important pour moi, qui ai tendance à vite décrocher de mes lectures.)
J'ai particulièrement apprécié de suivre les péripéties et les thèmes qu'affrontent Tomoë, la mystérieuse héroïne de cette histoire, et ses compagnons de voyage. En achevant ma lecture, j'étais à la fois comblée et un peu triste de dire au-revoir à ceux qui étaient un peu devenus une bande de copains (ce qui, maintenant que j'y pense, me fait le même effet qu'après avoir lu du Bottero). J'ai tellement aimé que je me suis empressée d'acquérir le tome 2, et à mon avis il ne restera pas longtemps sur ma PAL !