Antoine Chambert-Loir a cité Le nom de la rose par Umberto Eco
Je sais enfin qu'une abbaye glorieuse telle que celle de Murbach, en ces temps si tristes, n'a plus un seul scribe, qu'à Saint-Gall sont restés peu de moines qui sachent écrire, que c'est désormais dans les cités que naissent corporations et guildes composées de séculiers qui travaillent pour les universités, et que seule votre abbaye renouvelle de jour en jour, que dis-je ?, porte à des sommets toujours plus hauts les gloires de votre ordre...
— Le nom de la rose de Umberto Eco (Page 44)
On est en 1327 et ce paragraphe au début du livre me rappelle une discussion de @crideaukikuchi qui expliquait le moment où les moines perdirent le monopole de la copie des livres.