Sébastien Maret a commencé la lecture de Veloruptopia par Tristan Nitot

Veloruptopia de Tristan Nitot
À quoi pourrait ressembler un monde qui aurait réussi à prendre le virage climatique, un monde qui serait mieux que …
Romans, bandes dessinées, essais sur l’environnement et le climat, livres d’astronomie.
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À quoi pourrait ressembler un monde qui aurait réussi à prendre le virage climatique, un monde qui serait mieux que …

Le vendredi 12 août 2022, au bout d’une vallée étincelante dans la province de Bolzano, un couple affranchi de toute …
J'avais entendu parler du célèbre tour du monde à la voile en solitaire et sans escale de Bernard Moitessier en 1968, et son refus, une fois le tout du monde bouclé, de repartir à Plymouth pour finir la course. Mais je n'ai jamais lu son livre, "La longue route". Cette adaptation en BD m'a donné envie de lire le livre (ce qui est bon signe !). Les dessins sont superbes, et le scénario est captivant. J'ai eu l'impression d'être moi même à la place du navigateur, et de comprendre un peu mieux sa joie d'être en mer, son envie de poursuivre un second tour du monde, pour s'arrêter finalement à Tahiti. Une des meilleures BD que j'ai lu récemment.
J'avais entendu parler du célèbre tour du monde à la voile en solitaire et sans escale de Bernard Moitessier en 1968, et son refus, une fois le tout du monde bouclé, de repartir à Plymouth pour finir la course. Mais je n'ai jamais lu son livre, "La longue route". Cette adaptation en BD m'a donné envie de lire le livre (ce qui est bon signe !). Les dessins sont superbes, et le scénario est captivant. J'ai eu l'impression d'être moi même à la place du navigateur, et de comprendre un peu mieux sa joie d'être en mer, son envie de poursuivre un second tour du monde, pour s'arrêter finalement à Tahiti. Une des meilleures BD que j'ai lu récemment.

Le 22 août 1968, Bernard Moitessier et son bateau Joshua s'élancent dans la première course à la voile en solitaire …

Dans la haute vallée alpine de la Romanche, au nord du sauvage massif des Ecrins, le glacier de la Girose …

Ce jour-là, le 25 août 2015, l'événement n'est pas : un ours attaque une anthropologue française quelque part dans les …
J'ai lu "À l'Est des rêves" il y quelques mois, et je n'avais pas vraiment accroché. A l'occasion d'une rencontre prévue avec l'autrice au Lautaret (rencontre qui n'a finalement pas eu lieu), j'ai lu, sur les conseils d'un ami, "Croire aux fauves", que j'ai beaucoup apprécié. L'autrice y raconte une rencontre (tragique) avec un ours lors d'une mission de terrain au Kamchatka, rencontre qui a marqué l'autrice à la fois physiquement et psychologiquement. L'autrice y raconte, avec une écriture intime, comment la rencontre avec l'ours a rendu poreuse la frontière entre l'approche rationnelle qu'elle suit pour étudier les peuples du Kamchatka, et une approche plus sensible, qui fait partie intégrante de la culture de ses peuples. Cette dualité est matérialisée par deux carnets de terrain qu'elle utilise: un carnet noir, dans lequel elle note ses observations factuelles, et un carnet de couleur, dans lequel elle note ses rêves. Ces deux …
J'ai lu "À l'Est des rêves" il y quelques mois, et je n'avais pas vraiment accroché. A l'occasion d'une rencontre prévue avec l'autrice au Lautaret (rencontre qui n'a finalement pas eu lieu), j'ai lu, sur les conseils d'un ami, "Croire aux fauves", que j'ai beaucoup apprécié. L'autrice y raconte une rencontre (tragique) avec un ours lors d'une mission de terrain au Kamchatka, rencontre qui a marqué l'autrice à la fois physiquement et psychologiquement. L'autrice y raconte, avec une écriture intime, comment la rencontre avec l'ours a rendu poreuse la frontière entre l'approche rationnelle qu'elle suit pour étudier les peuples du Kamchatka, et une approche plus sensible, qui fait partie intégrante de la culture de ses peuples. Cette dualité est matérialisée par deux carnets de terrain qu'elle utilise: un carnet noir, dans lequel elle note ses observations factuelles, et un carnet de couleur, dans lequel elle note ses rêves. Ces deux carnets finissent par se fondre en un seul, à la fin du roman.
Un livre sublime, qui me questionne aussi, en tant que scientifique, sur mon rapport à l'univers.
Je ferme le cahier, pensive. Je le range précautionneusement sur l'étagère, un léger sourire se dessine sur mes lèves. Je crois que le cahier noir a coulé dans les carnets de couleur depuis l'ours; je crois qu'il n'y aura plus de cahier noir; je crois que ce n'est pas grave. Il y aura une seule et même histoire, polyphonique, celle que nous tissons ensemble, eux et moi, sur tout ce qui nous traverse et nous constitue.
— Croire aux fauves de Nastassja Martin (Page 150)
Ce qui se passe au Pays de la Meije illustre bien le dilemme entre des impératifs économiques d'un coté (permettre la viabilité d'une infrastructure pour défendre les emplois locaux), et une version prospective de l'autre (concevoir un avenir désirable compatible avec les limites planétaires). Comment sortir de cette contradiction ?
— Glacier de la Girose, versant sensible de Xavier Bodin, Mikaël Chambru, Sébastien Ibanez (Page 18)
Un petit récit agréable à lire, mais sans grand intérêt, hormis que cela parle de surf, et que Jack London en est l'auteur.
Un petit récit agréable à lire, mais sans grand intérêt, hormis que cela parle de surf, et que Jack London en est l'auteur.

Dans la haute vallée alpine de la Romanche, au nord du sauvage massif des Ecrins, le glacier de la Girose …

Ce jour-là, le 25 août 2015, l'événement n'est pas : un ours attaque une anthropologue française quelque part dans les …

Le 22 août 1968, Bernard Moitessier et son bateau Joshua s'élancent dans la première course à la voile en solitaire …

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En route pour un tour du monde à bord de leur propre navire, Jack et Charmian London arrivent à Hawaï …