Sébastien Maret a commencé la lecture de Croire aux fauves par Nastassja Martin

Croire aux fauves de Nastassja Martin
Ce jour-là, le 25 août 2015, l'événement n'est pas : un ours attaque une anthropologue française quelque part dans les …
Je lis pas mal de romans, quelques BD, et pas aussi mal d'essais sur la science, l'environnement, le climat, etc. Mastodon
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Ce jour-là, le 25 août 2015, l'événement n'est pas : un ours attaque une anthropologue française quelque part dans les …
En route pour un tour du monde à bord de leur propre navire, Jack et Charmian London arrivent à Hawaï …
Je retournerai surfer sur cette eau merveilleuse, et j'arriverai debout sur la rive [...]. Et si je n'y parviens pas demain, je recommencerai le jour suivant, et ainsi de suite. Une chose est sûre en tout cas : le Snark ne quittera pas Honolulu tant que je n'aurai pas, moi aussi, donné des ailes d'écume à mes pieds et fait de ma personne un Mercure à la peau rouge et pelée.
Prendre la vague et combattre la vague, je l'ai appris, est un art de la non-résistance, Esquivez le coup que la mer vous porte. Plongez sous la vague qui espère vous gifler. Laissez-vous couler tout droit, les pieds en premier, loin sous la surface de l'eau, et laissez la grande fuligineuse qui espère vous broyer passer largement au dessus de vous. Ne luttez pas. Détendez-vous. Abandonnez-vous à l'eau qui vous déchire et vous écartèle.
Combattre une vague, quelle drôle d'idée.
En route pour un tour du monde à bord de leur propre navire, Jack et Charmian London arrivent à Hawaï …
Ce manifeste, mi-essai mi-BD, avance un scénario optimiste pour les décennies à venir. Entre crise écologique et fascisation du monde, …
J'espérais, en lisant ce livre, échapper un peu au pessimisme ambiant sur la crise écologique que nous traversons. Mes attentes ont étés un peu déçues; je trouve le livre très théorique, et je peine un peu à voir comment le scénario proposé pourrait nous permettre de nous en sortir. Finalement, la citation du livre qui résume le mieux mon point de vue sur le livre est ce dialogue, en BD, entre deux oiseaux (p. 160):
" Il y croit vraiment à son truc, tu penses ?"
"Ca m'étonnerait, il est pas si con. Mais bon beaucoup de de choses peuvent arriver auxquelles personne ne croyait."
Les perspectives terrestres peuvent être alimentées par toutes sortes de petits gestes du quotidien : se mêler aux luttes territoriales qui fleurissent un peu partout, s'opposer aux grands projets dont le capitalisme a besoin pour survivre, désarmer et démanteler ses infrastructures, composer localement des formes d'autonomie politique et matérielle.
— Perspectives terrestres de Alessandro Pignocchi (Page 219)
Le paradigme moderne-capitaliste est trop solidifié et hégémonique pour que l'on puisse imaginer une transition douce vers le terrestre en le transformant depuis l'intérieur des ses structures. Il nous faut donc des points d'appuis extérieurs. Nous avons ébauché un scénario qui propose de le perforer par différentes formes d'autonomie territorialisée. Depuis cette extériorité, il devient possible d'engager différents types d'interrelations transformatrices avec les institutions d'État. Il ne s'agit plus de se demander comment influencer les décisions de nos dirigeants politiques. On cesse de pester en évoquant "ce qu'il faudrait faire", pour faire directement.
— Perspectives terrestres de Alessandro Pignocchi (Page 218)
Ils attaquent en meute. Soudés, du moins en apparence. Les insoumis ont conquis des sièges de députés, dans le bruit …
« Une séparation, ce n’est rien. Et c’est toute une vie. » Ces mots, Raphaël les a accueillis comme une …
« Une séparation, ce n’est rien. Et c’est toute une vie. » Ces mots, Raphaël les a accueillis comme une …
De cette histoire, il ne restera pour Anna que deux choses, une magnifique enfant et un seul chapitre qu’il lui arrivera de raconter : la violence des derniers jours, le gâchis final. Mais l’amour, non. La vie ensemble, non. Il ne demeurera de « mémorable » que l’ombre au tableau. Tout le reste : un amas de vieux cartons qu’elle ne désirera jamais rouvrir.
— Roman de plages de Arnaud Cathrine (Page 73)
« Une séparation, ce n’est rien. Et c’est toute une vie. » Ces mots, Raphaël les a accueillis comme une …
« On peut, comme moi, grimper sur des parois immenses, dormir en paix avec cinq cents mètres de vide sous …