Sébastien Maret a cité Éloge de l’imprévu par Jean-Claude Weill
Fait attention, le pire des travers pour un chercheur est quand il commence à croire à sa propre poésie.
— Éloge de l’imprévu de Jean-Claude Weill (Page 53)
Fait attention, le pire des travers pour un chercheur est quand il commence à croire à sa propre poésie.
— Éloge de l’imprévu de Jean-Claude Weill (Page 53)