Sébastien Maret a cité Éloge de l’imprévu par Jean-Claude Weill
Quand il n'y a plus de pourquoi, il n'y a plus d'humanité. N'est ce pas là une bonne raison pour faire de la recherche ?
— Éloge de l’imprévu de Jean-Claude Weill (Page 63)
Quand il n'y a plus de pourquoi, il n'y a plus d'humanité. N'est ce pas là une bonne raison pour faire de la recherche ?
— Éloge de l’imprévu de Jean-Claude Weill (Page 63)