Sébastien Maret a cité Éloge de l’imprévu par Jean-Claude Weill
Le prix [Nobel] devrait être donné à une découverte: tous les chercheurs ayant participé à cette dernière seraient primés, qu'ils soient morts ou vivants. Il y aurait ainsi une vingtaine de noms, ce qui serait beaucoup plus juste car chaque découverte est l'histoire d'une suite d'observations originales, fruit du travail de plusieurs années. Pour faire monter la vague, il faut beaucoup d'eau et ce n'est pas simplement la lame supérieure qui a permis sa formation.
— Éloge de l’imprévu de Jean-Claude Weill (Page 98)