It is the world of the near future, and Offred is a Handmaid in the home of the Commander and his wife. She is allowed out once a day to the food market, she is not permitted to read, and she is hoping the Commander makes her pregnant, because she is only valued if her ovaries are viable. Offred can remember the years before, when she was an independent woman, had a job of her own, a husband and child. But all of that is gone now ... everything has changed.
Je ne savais rien de ce roman – je n'avais pas vu la série – si ce n'est que c'était une dystopie. Et j'ai été impressionné par la qualité et la profondeur de l'écriture. Ça confirme ma conviction qu'il vaut toujours mieux lire un livre avant d'en voir une adaptation.
Une dystopie totalitaire qui tarde à prendre son envol
2 étoiles
Nous sommes aux États-Unis, probablement dans les année 1990-2000. Un régime totalitaire théocratique gouverne, les femmes y sont réduites au rôle d'épouse, de procréatrice, ou de domestique. Nous y suivons le parcours de Defred, une Servante Rouge (à vocation procréatrice).
La première moitié du roman pose le décor en relatant le quotidien ennuyeux de la maisonnée, sans aucune péripétie. J'ai failli laisser tomber le livre plus d'une fois tant le livre manque de rebondissements dans cette partie, qui plus est mal servie par un style pesant, parfois abscons.
La deuxième moitié est plus enlevée, avec des péripéties qui nous emportent plus. On s'attache enfin aux personnages, il se passe des choses, l'envers de cette théocratie puritaine nous est peu à peu dévoilé.
L'ouvrage est enfin bien servi par un épilogue, puis par une post-face contemporaine, qui permettent de placer l'ouvrage dans un contexte historique (futur), et d'éclairer les intentions de …
Nous sommes aux États-Unis, probablement dans les année 1990-2000. Un régime totalitaire théocratique gouverne, les femmes y sont réduites au rôle d'épouse, de procréatrice, ou de domestique. Nous y suivons le parcours de Defred, une Servante Rouge (à vocation procréatrice).
La première moitié du roman pose le décor en relatant le quotidien ennuyeux de la maisonnée, sans aucune péripétie. J'ai failli laisser tomber le livre plus d'une fois tant le livre manque de rebondissements dans cette partie, qui plus est mal servie par un style pesant, parfois abscons.
La deuxième moitié est plus enlevée, avec des péripéties qui nous emportent plus. On s'attache enfin aux personnages, il se passe des choses, l'envers de cette théocratie puritaine nous est peu à peu dévoilé.
L'ouvrage est enfin bien servi par un épilogue, puis par une post-face contemporaine, qui permettent de placer l'ouvrage dans un contexte historique (futur), et d'éclairer les intentions de l'autrice.
Au final, je ne sais pas si je recommanderais cette lecture à un ami, tant l'envol du livre est long et pénible. Et c'est bien dommage car j'ai vraiment apprécié la deuxième moitié.
I read the Handmaid's Tale yesterday, finally. I'm disappointed. I did not like the writing style at all, there was no real story, just descriptions. And then it just ended. No conclusion or anything.
My best guess it's because the TV show was so intense and well made (at least the earlier seasons), and the book was... Not? Episodes would stay with me for days, but I'm struggling to recall the book.
Maybe the book is supposed to be unsatisfying to go with the theme. Nothing much happened after Gilead was created, every day just kinda goes by. Sure there was some torture and death, but... Eh.
Maybe I was expecting too much after all the praise it got. It's my first Atwood book, and way way outside of my usual genre (fantasy, scifi, horror).
I read this classic just two years ago. It felt more relevant to the present than it may have been when it was written.
This book is a revolutionary milestone in speculative fiction and probably feminist literature as well, but I found equally interesting that the text is based on progressive loss of innocence. The final chapter is incredible and left me very satisfied.