La servante écarlate

Livre broché, 522 pages

Langue : French

Publié 6 juillet 2017 par Robert Laffont.

ISBN :
978-2-221-20332-3
ISBN copié !
Numéro OCLC :
1142018288

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(5 critiques)

Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, "servante écarlate" parmi d'autres, à qui l'on a ôté jusqu'à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler… En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté. Paru pour la première fois en 1985, La Servante écarlate s'est vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde. Devenu un classique de la littérature anglophone, ce roman, qui n'est pas sans évoquer le 1984 de George Orwell, décrit un quotidien glaçant qui n'a jamais semblé aussi proche, nous rappelant combien fragiles sont nos libertés. La …

56 éditions

a publié une critique de La servante écarlate par Margaret Atwood

Une dystopie totalitaire qui tarde à prendre son envol

Nous sommes aux États-Unis, probablement dans les année 1990-2000. Un régime totalitaire théocratique gouverne, les femmes y sont réduites au rôle d'épouse, de procréatrice, ou de domestique. Nous y suivons le parcours de Defred, une Servante Rouge (à vocation procréatrice).

La première moitié du roman pose le décor en relatant le quotidien ennuyeux de la maisonnée, sans aucune péripétie. J'ai failli laisser tomber le livre plus d'une fois tant le livre manque de rebondissements dans cette partie, qui plus est mal servie par un style pesant, parfois abscons.

La deuxième moitié est plus enlevée, avec des péripéties qui nous emportent plus. On s'attache enfin aux personnages, il se passe des choses, l'envers de cette théocratie puritaine nous est peu à peu dévoilé.

L'ouvrage est enfin bien servi par un épilogue, puis par une post-face contemporaine, qui permettent de placer l'ouvrage dans un contexte historique (futur), et d'éclairer les intentions de …

Meh

I read the Handmaid's Tale yesterday, finally. I'm disappointed. I did not like the writing style at all, there was no real story, just descriptions. And then it just ended. No conclusion or anything.

My best guess it's because the TV show was so intense and well made (at least the earlier seasons), and the book was... Not? Episodes would stay with me for days, but I'm struggling to recall the book.

Maybe the book is supposed to be unsatisfying to go with the theme. Nothing much happened after Gilead was created, every day just kinda goes by. Sure there was some torture and death, but... Eh.

Maybe I was expecting too much after all the praise it got. It's my first Atwood book, and way way outside of my usual genre (fantasy, scifi, horror).

a publié une critique de Handmaid's Tale par Margaret Atwood (The Handmaid's Tale, #1)

a classic

I read this classic just two years ago. It felt more relevant to the present than it may have been when it was written. This book is a revolutionary milestone in speculative fiction and probably feminist literature as well, but I found equally interesting that the text is based on progressive loss of innocence. The final chapter is incredible and left me very satisfied.

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