Nobody a commencé la lecture de Saint Seiya par Masami Kurumada (Saint Seiya, #1)

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Si brèves, mouvementées, douloureuses parfois qu'aient pu être leurs rencontres, [...] l'influence qu'elles avaient eues sur sa vie avait été considérable. Il y avait là un mystère. On vous donnait une graine pointue, piquante, ingrate – la rencontre elle-même, souvent extrêmement douloureuse ; et pourtant dans l'absence, et dans les endroits les plus inattendus, elle fleurissait, elle s'ouvrait, elle répandait son parfum, vous pouviez la toucher, la goûter, la contempler, la palper et la comprendre, après l'avoir perdue pendant des années.
— Mrs Dalloway de Virginia Woolf (Page 264 - 265)
Et il y a chez les gens une dignité ; une solitude ; même entre mari et femme, un abîme ; et c'est quelque chose qu'il faut respecter, se dit Clarissa, le regardant ouvrir la porte ; car on ne s'en séparerait pas soi-même, on ne l'enlèverait pas, contre son gré, à son mari, sans perdre son indépendance, sa dignité personnelle, choses qui, en fin de compte, sont sans prix.
— Mrs Dalloway de Virginia Woolf (Page 219)
Bon, je me suis bien amusé ; et c'est fini, se dit-il, en levant les yeux vers les corbeilles suspendues de géraniums pâles. Et le voilà réduit en poudre, son moment d'amusement, car il l'avait plus ou moins fabriqué de toutes pièces, il le savait bien ; il l'avait inventée, cette aventure avec la jeune femme ; il l'avait fabriquée, comme on se fabrique les trois quarts de sa vie, se dit-il, et comme on se fabrique soi-même ; il avait fabriqué cette jeune femme ; il avait créé ce moment charmant, avec quelque chose en plus. Mais chose bizarre, et vraie : on ne pouvait rien partager de tout cela – et cela se réduisait en poudre.
— Mrs Dalloway de Virginia Woolf (Page 131)
Virginia Woolf’s novel chronicles a day in the life of Clarissa Dalloway, a politician’s wife in 1920s London, as she …
Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, …
Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, …
Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, …
L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure
– Apollinaire
— Les cent plus beaux poèmes de la langue francaise de Jean Orizet (Page 182 - 183)