Nobody a commencé la lecture de Mrs Dalloway par Virginia Woolf

Mrs Dalloway de Virginia Woolf
Virginia Woolf’s novel chronicles a day in the life of Clarissa Dalloway, a politician’s wife in 1920s London, as she …
Lectures éclectiques : littérature "classique", SF, Fantasy, BD/mangas, poésie...
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Virginia Woolf’s novel chronicles a day in the life of Clarissa Dalloway, a politician’s wife in 1920s London, as she …
Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, …
Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, …
Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, …
L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure
– Apollinaire
— Les cent plus beaux poèmes de la langue francaise de Jean Orizet (Page 182 - 183)
Ce panorama procède, encore une fois, plus d'un constat de popularité que d'un parti pris personnel. Le temps a fait …
Grand OEuvre d'Isidore Ducasse et monument de provocation langagière, Les Chants de Maldoror ne cessent de fasciner : « la …
Il est beau comme la rétractilité des serres des oiseaux rapaces ; ou encore, comme l'incertitude des mouvements musculaires dans les plaies des parties molles de la région cervicale postérieure ; ou plutôt, comme ce piège à rats perpétuel, toujours retendu par l'animal pris, qui peut prendre seul des rongeurs indéfiniment, et fonctionner même caché sous la paille ; et surtout, comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à coudre et d'un parapluie.
— Les Chants de Maldoror de Lautréamont (Page 289)
Il contemple la lune qui verse, sur sa poitrine, un cône de rayons extatiques, où palpitent, comme des phalènes, des atomes d'argent d'une douceur ineffable. Il attend que le crépuscule du matin vienne apporter, par le changement de décors, un dérisoire soulagement à son cœur bouleversé.
— Les Chants de Maldoror de Lautréamont (Page 281)