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Virginia Woolf: Orlando (Paperback, français language, 1974, Stock)

Traduit de l’Anglais par Charles Mauron. Préface de Diane de Margerie.

Orlando, ce sont …

À Norwich, une jeune paysanne partit pour traverser la route en excellente santé, à son ordinaire, et les témoins la virent distinctement s’effriter, voler en un nuage de poussière par-dessus les toits, sous le choc glacial de la bise, au coin de la rue.

Orlando de  (11%)

Il y a des passages que je trouve vraiment pleins d'humour dans Orlando. Des paragraphes, comme celui sur le « Grand Gel » – quand les « oiseaux gelaient dans l’air et tombaient comme des pierres sur le sol » –, où je ressens même une certaine jubilation de l'écrivaine.

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@Balbec pour moi c'est un des joyaux de Woolf et de la littérature : une jubilation permanente, en effet, un pur bonheur de suivre une histoire pleine de rebondissements et de poésie. Me fait penser à Nabokov pour le style et au Manuscrit trouvé à Saragosse de Potocki (autre merveille au passage) pour les aventures et les récits emboîtés.