
Harrower de Justin Jordan, Brahm Revel
There’s nothing to fear in the quaint town of Harrow, New York–except, that is, for the Harrower. The children wish …
Bédéphile (et non "file, débile !")
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There’s nothing to fear in the quaint town of Harrow, New York–except, that is, for the Harrower. The children wish …
Une série qui tente à nouveau d'analyser les conséquences politiques des super-héros, avec une approche bien plus noire et pessimiste (et sans doute réaliste) que celle de Watchmen. Plutôt pas mal, à voir où elle va. On notera qu'entre les épisodes 3 et 4 elle donne une timeline qui spoile plusieurs des épisodes suivants - je conseillerais d'éviter de la lire avant d'avoir lu le reste, donc.
It’s 1999. Six indescribably powerful people each have the destructive capability of America’s nuclear arsenal.
If they come into conflict, …
The next book in the red-hot Reckless series is here! Bestselling crime noir masters Ed Brubaker and Sean Phillips are …
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In 1999, Gabriel and his friends discovered the Undernet―a secret architecture to the internet. They charted their exploration on a …
Le dessin est moins foutraque que celui de I Hate Fairyland (de Skottie Young, qui est seulement scénariste ici), mais le découpage l'est au moins autant, ce qui rend l'histoire malheureusement bien moins lisible.
Le sujet est un classique revisité d'une façon relativement intéressante, et la fin retombe bien sur ses pattes, mais sans jamais que l'album atteigne une quelconque transcendance vu que les protagonistes ne dépassent jamais vraiment leur nature de cliché.
"Ryder put her violent past behind her when she fell in love and became a mother. But that was before …
SOUTHERN BASTARDS meets American Gods in a high-stakes fantasy series that masterfully blends high-octane action and jaw-dropping worldbuilding.
In GOD …
Globalement sans intérêt, je dirais. La fin est pas mal, mais (petit spoiler) s'il faut tuer trois dieux pour qu'un père arrive à parler à son fils, il pourrait être intéressant de se pencher un peu sur les problèmes de la société texane, plutôt que de continuer à valoriser inconditionnellement les "vrais durs"...
Lu en VF (malheureusement) Je confirme le problème avec le dessin constaté dans le premier tome, et je ne comprends toujours pas d'où il vient (même si dans une interview, Brubaker expliquait avoir demandé à Sean Philips de dessiner différemment). En tous cas le gros plan sur le visage de Linh p37 de l'édition française montre bien qu'il y a un problème, c'est hideux alors que Linh est présentée comme une jolie fille (quoique, et c'est une bonne idée, jamais extraordinaire sur ce plan). Le scénario étant entièrement basé sur les paniques morales réactionnaires des années 80, traitées sans aucun recul, cela rend la suspension d'incrédulité plus difficile que sur le premier (même si celui-ci reprenait aussi des fantasmes réactionnaires, d'ailleurs).
Bien aimé l'intrigue et le personnage, ce qui m'étonne c'est que pour le dessin c'est le même Sean Philips que sur Criminal et Fatale, que j'ai beaucoup aimés, mais là ça fait quand même un peu mal aux yeux. La faute aux couleurs ? C'est possible, elles sont particulièrement criardes...
Franchement sans intérêt... Cela commençait bien avec plein de références intéressantes et un dessin qui installait une ambiance bien comme il faut, mais comme très souvent dans ce genre la mythologie de fond est inoriginale et paresseuse, donc tout tombe à plat très vite. D'autant que la BD n'est pas adaptée à l'horreur, vu qu'elle montre tout (contrairement au roman) et laisse le choix du rythme au lecteur (contrairement au cinéma).
Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il …