Définitivement bien plus fin que la série (pour ce que j'en ai vu). Un roman noir / roman d'espionnage d'uchronie, qui suggère bien plus qu'il ne dit. Bref, il faut que je lise davantage de Philip K. Dick !
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Romans et livres d'histoire principalement, en français et en anglais. Compte de @crideaukikuchi@sciences.re
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Catherine Rideau-Kikuchi veut lire Thérèse Raquin par Émile Zola (GF -- 1377)

Thérèse Raquin de Émile Zola (GF -- 1377)
Le point de vue de l'éditeurDes amours adultères au crime, du crime à l'effroi, de l'effroi à la souffrance, puis …
Catherine Rideau-Kikuchi a commencé la lecture de Shroud for the Archbishop par Peter Tremayne

Shroud for the Archbishop de Peter Tremayne
Wighard, Archbishop designate of Canterbury, has been found dead, garrotted in his chambers in Rome's Lateran Palace in the autumn …
Catherine Rideau-Kikuchi a terminé la lecture de The Man in the High Castle par Philip K. Dick
Définitivement bien plus fin que la série (pour ce que j'en ai vu). Un roman noir / roman d'espionnage d'uchronie, qui suggère bien plus qu'il ne dit. Bref, il faut que je lise davantage de Philip K. Dick !
Catherine Rideau-Kikuchi a répondu au statut de Anthony
Catherine Rideau-Kikuchi a commencé la lecture de The Man in the High Castle par Philip K. Dick
Avertissement sur le contenu A ne lire que si vous avez lu Mrs Dalloway
Then (she had felt it only this morning) there was the terror: the overwhelming incapacity, one's parents giving it into one's hands, this life, to be lived to the end, to be walked with serenely; there was in the depths of her heart an awful fear. Even now, quite often if Richard had not been there reading The Times, so that she could crouch like a bird and gradually revive, send roaring up that immeasurable delight, rubbing stick to stick, one thing with another, she must have perished. She had escaped. But that young man had killed himself.
Catherine Rideau-Kikuchi a terminé la lecture de Mrs. Dalloway / A Room of One's Own par Virginia Woolf

Mrs. Dalloway / A Room of One's Own de Virginia Woolf
A Room of One's Own is an extended essay by Virginia Woolf. First published on 24 October 1929, the essay …
"That's what I do it for", she said, speaking aloud, to life. [..]. "Yes, yes, but your parties - what's the sense of your parties?", all she could say was (and nobody could be expected to understand): They're an offering. [..]. But could any man understand what she meant either? About life? She could not imagine Peter or Richard taking the trouble to give a party for no reason whatever. But to go deeper, beneath what people said (and these judgements, how superficial, how fragmentary they are!) in her own mind now, what did it mean to her, this thing called life? Oh, it was very queer. Here was So-and-so in South Kensington; someone up in Bayswater; and somebody else, say, in Mayfair. and she felt quite continuously a sense of their existence; and she felt what a waste; and she felt what a pity; and she felt if only …
"That's what I do it for", she said, speaking aloud, to life. [..]. "Yes, yes, but your parties - what's the sense of your parties?", all she could say was (and nobody could be expected to understand): They're an offering. [..]. But could any man understand what she meant either? About life? She could not imagine Peter or Richard taking the trouble to give a party for no reason whatever. But to go deeper, beneath what people said (and these judgements, how superficial, how fragmentary they are!) in her own mind now, what did it mean to her, this thing called life? Oh, it was very queer. Here was So-and-so in South Kensington; someone up in Bayswater; and somebody else, say, in Mayfair. and she felt quite continuously a sense of their existence; and she felt what a waste; and she felt what a pity; and she felt if only they could be brought together; so she did it. And it was an offering; to combine: to create; but to whom? An offering for the sake of the offering, perhaps. Anyhow, it was her gift.
Antoine Chambert-Loir a terminé la lecture de Trahisons de la mémoire par Héctor Joaquín Abad Faciolince (Arcades)
Quelques années après l'assassinat de son père, ce n'est pas à une enquête policière mais littéraire que s'attelle l'auteur : identifier la source du poème de Jose Luis Borges qu'il avait trouvé dans la poche de son père mort et dont un vers avait fourni le titre de son récit L'oubli que nous serons. Une fantastique Odyssée entre Finlande, Amérique du sud et Paris...
Quelques années après l'assassinat de son père, ce n'est pas à une enquête policière mais littéraire que s'attelle l'auteur : identifier la source du poème de Jose Luis Borges qu'il avait trouvé dans la poche de son père mort et dont un vers avait fourni le titre de son récit L'oubli que nous serons. Une fantastique Odyssée entre Finlande, Amérique du sud et Paris...
Catherine Rideau-Kikuchi a terminé la lecture de Harald à la Dent bleue par Lucie Malbos
Un très beau livre, qui à partir d'un faisceau ténu d'indices (chroniques, pierres runiques, sites archéologiques) raconte l'histoire de Harald à la dent bleue. Guerrier puis roi, converti au christianisme, grand bâtisseur et conquérant, il a sans doute été le promoteur d'un pouvoir royal fort, attentif à sa mémoire et à sa place dans le jeu diplomatique européen. Sa postérité aujourd'hui est contrastée, mais tout le monde connaît le symbole runique qui lui est associé, celui du Bluetooth ! A recommander à tout le monde : ce livre est vraiment très bien écrit, très enlevé, et permet de parcourir mers et terres dans le Danemark du Xe siècle.
Un très beau livre, qui à partir d'un faisceau ténu d'indices (chroniques, pierres runiques, sites archéologiques) raconte l'histoire de Harald à la dent bleue. Guerrier puis roi, converti au christianisme, grand bâtisseur et conquérant, il a sans doute été le promoteur d'un pouvoir royal fort, attentif à sa mémoire et à sa place dans le jeu diplomatique européen. Sa postérité aujourd'hui est contrastée, mais tout le monde connaît le symbole runique qui lui est associé, celui du Bluetooth ! A recommander à tout le monde : ce livre est vraiment très bien écrit, très enlevé, et permet de parcourir mers et terres dans le Danemark du Xe siècle.
Les fils qui constituent la trame de l'histoire de Harald sont ténus, parfois même inexistants : point fort précisément de la technologie Bluetooth, c'est une difficulté de taille pour l'historien, qui doit faire preuve, pour tenter de reconstituer le cours de cette vie, d'une grande rigueur historique, de beaucoup de prudence dans la mobilisation des maigres sources à sa disposition, mais également, avouons-le, d'une bonne dose d'imagination, au risque parfois de se laisser emporter.
— Harald à la Dent bleue de Lucie Malbos (Page 225)













