s_mailler a répondu au statut de Post Tenebras Lire 📚
@ptl@tooting.ch Ah ouais, pourtant c'est très très présent dans le livre et c'est même ce qui le conclut, je ne vois pas comment on peut faire un film sans transposer ça ! !
Je lis un peu de tout, surtout en français, parfois en espagnol ou en anglais.
J'ai quelques livres à donner listés sur inventaire.io : inventaire.io/shelves/27f5f8e89b15ab0504501d147cc2b876
Ce lien ouvre une nouvelle fenêtre
95% terminé ! s_mailler a lu 19 sur 20 livres.
@ptl@tooting.ch Ah ouais, pourtant c'est très très présent dans le livre et c'est même ce qui le conclut, je ne vois pas comment on peut faire un film sans transposer ça ! !
Cada mes de agosto, Ana Magdalena Bach toma el transbordador hasta la isla donde está enterrada su madre para visitar …
Nous sommes au début des années 2010 dans l'Oregon, divisé en beaucoup de petites communautés très diverses, après l'effondrement des États-Unis causé par une guerre nucléaire pendant les années 1990. Un homme seul parcourt ces villages et ces sociétés, se battant pour sa survie, devenant facteur pour de chimériques "États-Unis refondés".
Un super livre de science-fiction post-apocalyptique, intéressant je trouve du point de vue sociologique et anthropologique (les sociétés ébauchées sont crédibles et intéressantes). Une fois rentré dedans, impossible d'en décrocher !
@Plumereine Ah OK, c'est encore trop dure pour mon petit alors !
Elle a trente ans, elle est professeur, mariée à un " cadre ", mère de deux enfants. Elle habite un …
@Plumereine C'est un livre pour adultes ou ça passe pour enfants ? Si oui, vous diriez quel âge ?
@Balbec Je me le note à lire plus tard, ça me tente. C'est facile à lire ?
Traduction (Grec ancien) : Mario Meunier « On sent en soi-même un plaisir secret lorsqu’on parle de cet empereur ; …
Dans une Amérique sombre et violente issue d'une guerre dévastatrice, Gordon est un comédien errant, troquant des histoires contre nourriture …
Le chef-d'œuvre de Cormac McCarthy en édition collector !
L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres …
Je ne me risquerai pas à une critique de La Route, tant elles sont nombreuses et dithyrambiques.
Ce n'est pas de la science-fiction. Ce n'est pas une dystopie. Ce n'est pas de la poésie. Ce n'est pas un thriller. Ce n'est pas un roman d'aventure. Ce n'est pas une réflexion philosophique. Sans classement possible, c'est un peu de tout cela à la fois.
Le livre est très court et se lit facilement. Le première partie décrit un crime atroce commis par des militaires israéliens à la fin des année 1940 dans le Néguev. L'alternance des points de vue et l'insistance sur des détails mineurs, un chien qui aboie, des odeurs, donnent un caractère très immersif à cette partie.
Le livre prend encore une autre dimension dans la deuxième partie, qui narre les recherches de terrain menées par une femme Palestinienne née 25 ans jour pour jour après la commission du crime. Cette deuxième partie est menée de main de maître en se concentrant sur la psychologie de notre héroïne plus que sur sa recherche en elle-même, finalement peut-être vaine. Le livre gagne ainsi en intensité dramatique et nous mène un un final qui m'a frappé comme un uppercut.
C'est un coup de cœur pour moi !
En 2003, un quotidien israélien, Haaretz, révèle qu’en août 1949 des soldats ont kidnappé, violé collectivement, puis tué et enterré …