Kind of the same for me...read it in a French translation, I thought the problem may lie in the translation... Apparently not when I see your text. I liked the second half of the book though, with more action. I haven't seen the TV show though, but I'm happy they made a good show out of the book, because the story itself is actually well-built !
" Les meilleurs récits dystopiques sont universels et intemporels. [...]La Servante écarlate éclaire d'une lumière …
Une dystopie totalitaire qui tarde à prendre son envol
2 étoiles
Nous sommes aux États-Unis, probablement dans les année 1990-2000. Un régime totalitaire théocratique gouverne, les femmes y sont réduites au rôle d'épouse, de procréatrice, ou de domestique. Nous y suivons le parcours de Defred, une Servante Rouge (à vocation procréatrice).
La première moitié du roman pose le décor en relatant le quotidien ennuyeux de la maisonnée, sans aucune péripétie. J'ai failli laisser tomber le livre plus d'une fois tant le livre manque de rebondissements dans cette partie, qui plus est mal servie par un style pesant, parfois abscons.
La deuxième moitié est plus enlevée, avec des péripéties qui nous emportent plus. On s'attache enfin aux personnages, il se passe des choses, l'envers de cette théocratie puritaine nous est peu à peu dévoilé.
L'ouvrage est enfin bien servi par un épilogue, puis par une post-face contemporaine, qui permettent de placer l'ouvrage dans un contexte historique (futur), et d'éclairer les intentions de …
Nous sommes aux États-Unis, probablement dans les année 1990-2000. Un régime totalitaire théocratique gouverne, les femmes y sont réduites au rôle d'épouse, de procréatrice, ou de domestique. Nous y suivons le parcours de Defred, une Servante Rouge (à vocation procréatrice).
La première moitié du roman pose le décor en relatant le quotidien ennuyeux de la maisonnée, sans aucune péripétie. J'ai failli laisser tomber le livre plus d'une fois tant le livre manque de rebondissements dans cette partie, qui plus est mal servie par un style pesant, parfois abscons.
La deuxième moitié est plus enlevée, avec des péripéties qui nous emportent plus. On s'attache enfin aux personnages, il se passe des choses, l'envers de cette théocratie puritaine nous est peu à peu dévoilé.
L'ouvrage est enfin bien servi par un épilogue, puis par une post-face contemporaine, qui permettent de placer l'ouvrage dans un contexte historique (futur), et d'éclairer les intentions de l'autrice.
Au final, je ne sais pas si je recommanderais cette lecture à un ami, tant l'envol du livre est long et pénible. Et c'est bien dommage car j'ai vraiment apprécié la deuxième moitié.
Lointain futur. Espace profond.
Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, …
Les pourcentages du fœtus s’affichèrent sur l’écran. Je paniquais un instant.
« Il va être si… différent de moi. »
– C’est vrai… me dit-elle en me tapotant l’esprit. Votre enfant sera différent de vous. Mais pur ou hybride, c’est toujours le cas. »
Elle me parla des nombreuses décisions à prendre. Voulais-je le porter ou le placer en incubateur ? Est-ce que je désirais pouvoir lui tenir la main sans combinaison ? Quels gènes activer pour sa source d’énergie ? Ceux qui permettent la transformation de la nourriture, de la chaleur ou des ondes ?
Je m’entendis répondre spontanément :
« Je veux qu’il puisse changer, et m’entendre chanter.
– Chanter ? »
La généticienne attendit un instant la traduction du terme.
« Bien ! dit-elle soudain. C’est une bonne première décision ! Continuons ainsi. La deuxième. La troisième. Construisons. Accueillons votre enfant. »
Cada mes de agosto, Ana Magdalena Bach toma el transbordador hasta la isla donde está …
Une magnifique dernière offrande de "Gabo" à ses lecteurs
5 étoiles
Chaque 16 août, Magdalena, une femme mariée qui va sur la cinquantaine, se rend seule sur une île de la mer Caraïbe pour déposer un bouquet de glaïeuls sur la tombe de sa mère. Mais après une rencontre inopinée, ces visites annuelles prennent un tour inattendu...
Ce roman est un véritable petit bijou, fait de six chapîtres qui pourraient presque se lire comme six nouvelles indépendantes. L'écriture fait appel aux cinq sens pour nous plonger intégralement dans les aventures de Magdalena. L'auteur fournit même une "playlist" en nous indiquant quelle musique entoure nos personnages dans les lieux fréquentés.
On reconnaît parfaitement le style inimitable de García Márquez dans cet hymne crépusculaire à la vie, à l'amour et à la luxure.
Dans cette édition, le roman est accompagné d'un texte des enfants de Gabo expliquant pourquoi, près de dix ans après sa mort, ils ont décidé de publier ce livre. Un …
Chaque 16 août, Magdalena, une femme mariée qui va sur la cinquantaine, se rend seule sur une île de la mer Caraïbe pour déposer un bouquet de glaïeuls sur la tombe de sa mère. Mais après une rencontre inopinée, ces visites annuelles prennent un tour inattendu...
Ce roman est un véritable petit bijou, fait de six chapîtres qui pourraient presque se lire comme six nouvelles indépendantes. L'écriture fait appel aux cinq sens pour nous plonger intégralement dans les aventures de Magdalena. L'auteur fournit même une "playlist" en nous indiquant quelle musique entoure nos personnages dans les lieux fréquentés.
On reconnaît parfaitement le style inimitable de García Márquez dans cet hymne crépusculaire à la vie, à l'amour et à la luxure.
Dans cette édition, le roman est accompagné d'un texte des enfants de Gabo expliquant pourquoi, près de dix ans après sa mort, ils ont décidé de publier ce livre. Un texte de l'éditeur explique la méthode employée. Un fac similé de 5 pages du tapuscrit annotées par l'auteur est fournie pour satisfaire la curiosité du lecteur.
Cada mes de agosto, Ana Magdalena Bach toma el transbordador hasta la isla donde está …
Se duchó, se vio en en espejo tan bella y libre como la reina azteca que inspiró el huipil, salvo por los zapatos de charol. Pensó que lo apropiado para su atuendo de la noche serían los pies descalzos, pero no se atrevió. De modo que fue a la pista de baile con aquella frustración pasajera, pero con la certidumbre de anticiparse al azar.
Cada mes de agosto, Ana Magdalena Bach toma el transbordador hasta la isla donde está …
Había repetido aquel viaje cada 16 de agosto a la misma hora, con el mismo taxi y la misma florista, bajo el sol de fuego del mismo cementerio indigente, para poner un ramo de gladiolos frescos en la tumba de su madre. A partir de ese momento no tenía nada que hacer hasta las nueve de la mañana del día siguiente, cuando salía el primer transbordador de regreso.