Dans un futur proche, les tournages de cinéma, trop polluants, ont été interdits. À la …
À travers une #dystopie dans laquelle on utilise la mémoire de défunts pour créer des documentaires et des fictions, l’autrice explore la mémoire, les effets du traumatisme, de l’amnésie et de la gérison.
#mastolivre#vendredilecture#SF
Un soir d’hiver à l’Elgin Theatre de Toronto, le célèbre acteur Arthur Leander s’écroule sur …
Station Eleven d’Emily St. John Mandel C’est un carnet de voyage #postapocalyptique , j’en suis à la moitié. C’est une #dystopie très vraisemblable, surtout post-covid (oui on y est encore, calmez-vous). C’est très américain aussi par le côté sectes flippantes et camping dans les Wallmarts. Pour le moment en tout cas j’aime beaucoup.
Station Eleven d’Emily St. John Mandel
C’est un carnet de voyage #postapocalyptique , j’en suis à la moitié. C’est une #dystopie très vraisemblable, surtout post-covid (oui on y est encore, calmez-vous). C’est très américain aussi par le côté sectes flippantes et camping dans les Wallmarts. Pour le moment en tout cas j’aime beaucoup.
Une femme. Une mission. Sauver le monde. 1952. Une météorite s'écrase au large de Washington, …
L'autrice Mary Robinette Kowal aborde le racisme (envers les Noirs américains) et le sexisme dans son roman dystopique « Vers les étoiles ». L'action se situe dans une autre version des années cinquante. Mais je souriais en constatant ce très fréquent biais lié au patriotisme. Suite à un effondrement planétaire, les États-Uniens des États les moins fragiles accueillent leurs réfugiés avec attention, et même, certes un peu plus tardivement, les personnes de couleur noire. Mais dans les autres pays, il est plutôt question d'émeutes, de pillages et d'autres atrocités. Décidément, les États-Uniens savent mieux se tenir que nous autres :-) Bon, je précise que je ne suis qu'au premier quart du livre.
L'autrice Mary Robinette Kowal aborde le racisme (envers les Noirs américains) et le sexisme dans son roman dystopique « Vers les étoiles ». L'action se situe dans une autre version des années cinquante. Mais je souriais en constatant ce très fréquent biais lié au patriotisme. Suite à un effondrement planétaire, les États-Uniens des États les moins fragiles accueillent leurs réfugiés avec attention, et même, certes un peu plus tardivement, les personnes de couleur noire. Mais dans les autres pays, il est plutôt question d'émeutes, de pillages et d'autres atrocités. Décidément, les États-Uniens savent mieux se tenir que nous autres :-) Bon, je précise que je ne suis qu'au premier quart du livre.