Anthony veut lire L'impossible retour par Amélie Nothomb
L'impossible retour de Amélie Nothomb
« Tout retour est impossible, l'amour le plus absolu n'en donne pas la clé. » Amélie Nothomb
Rassure-toi, tu ne vas pas mourir de lire.
Ce lien ouvre une nouvelle fenêtre
5% terminé ! Anthony a lu 3 sur 52 livres.
« Tout retour est impossible, l'amour le plus absolu n'en donne pas la clé. » Amélie Nothomb
@fresseng merci 😳Je n'ai pas encore fini ma lecture, donc j'en dirai plus (mais pas trop) une fois que j'aurai terminé. Cependant, je suis vraiment très agréablement surpris par la qualité de l'œuvre.
Ah ! qu'il fait doux danser quand pour vous se déclare Un mirage où tout chante et que les vents d'horreur Feignent d'être le rire de la lune hilare Et d'effrayer les fantômes avant-coureurs
— Alcools de Guillaume Apollinaire (Page 82)
Vous vous réveillez dans un aéroport. Vous ne savez pas qui vous êtes ni où vous allez. Vous avez dans …
Depuis qu’elle a intégré le Programme de génoembryologie, Typhaine n’a plus le choix.
Tout est encadré, politique du moindre risque.
L’enfant qu’elle porte, cet enfant sain, ce garçon sain, tout est fait pour qu’il arrive à terme dans les meilleures conditions. Typhaine passe ses semaines à faire des tests, à être transportée de son appartement à la clinique, de la clinique au laboratoire, du laboratoire à l’appartement.
Avant même que le test de grossesse s’avère positif, dès le début des traitements hormonaux, avant même l’intervention de prélèvement d’ovule, le protocole l’a contrainte à interrompre toute activité professionnelle, à réguler strictement son alimentation, plus d’alcool ni de tabac bien sûr, un régime optimisé pour un apport calorique très précis, des compléments alimentaires de synthèse pour remplacer viande, poisson, ou toute forme de produit issu de l’exploitation animale. Typhaine est devenue végane malgré elle, même si elle avait déjà largement banni la viande, devenue un produit de luxe.
— Fragile/s de Nicolas Martin (4%)
« Nous étions mille cinq cents. La première fournée. Les mères pondeuses du futur de la Nation. L'espoir non pas …
Période mouvementée des vacances oblige, j'ai mis quelques semaines à lire ce beau roman d'Ivo Andrić. De la fin du XVIe siècle au début du XXe siècle, nous vivons autour d'un édifice qui constituera un « immuable » au regard de l'agitation des hommes. De son édification à ses premières blessures (en 1914), l'auteur tisse peu à peu un lien indéfectible entre le pont et les habitants de la région. Sur la kapia – petit lieu de vie aménagé au centre du pont – se posent, se croisent (ou s'ignorent) les multiples cultures qui vivent – parfois en paix, souvent en conflit – dans la région, un territoire géopolitiquement instable et complexe, balkanisé. Une œuvre à la hauteur de l'Histoire qu'elle narre avec brio.
C'est toute l'histoire du pont que retrace ici Ivo Andric, depuis sa construction par le vizir Mehmed-pacha Sokolovic - enfant …
@Plumereine le traducteur que je connaissais (malheureusement décédé il y a quelques années) n'avait traduit que la série du monde du fleuve. Je vois que l'auteur a eu pas mal de traducteurs français différents. Bonne fin de lecture en tout cas.
C’est alors seulement que commença vraiment dans la ville la chasse aux Serbes et à tout ce qui était en relation avec eux. Les gens se partagèrent en poursuivis et poursuivants. La bête affamée qui vit en l’homme mais ne peut se manifester tant que subsistent les obstacles des bons usages et de la loi était maintenant lâchée. Le signal était donné, les barrières levées. Comme cela arrive souvent dans l’histoire, la violence et le vol, et même le meurtre, étaient tacitement autorisés, à condition qu’ils fussent pratiqués au nom d’intérêts supérieurs, sous le couvert de mots d’ordre, à l’encontre d’un nombre précis de personnes aux noms et aux convictions bien définis.
— Le pont sur la Drina de Ivo Andrić (86%)
Découvert ici, sur #bookwyrm, suggéré par l'auteur. (J'ai vraiment apprécié son premier roman : bw.heraut.eu/book/56370/review#reviews)
À l'occasion de la sortie de la bande dessinée La Route par Manu Larcenet, Points a réédité le roman de Cormac McCarthy dans cette édition illustrée par Manu Larcenet.
En même temps que l'étendue de mon ignorance de la littérature américaine, je découvre totalement Cormac McCarthy, pourtant immensément célèbre.
Donc, dans l'ordre de l'imaginaire décroissant, ce sera : roman, bande dessinée, puis film.
Note pour l'admin de cette instance, @balbec@piaille.fr, que je remercie encore au passage : l'homonymie de titre entre la bande dessinée et ce roman m'a fait créer un doublon et une mauvaise liaison entre éditions. Je n'ai pas l'impression de pouvoir corriger.
@fresseng @balbec@piaille.fr oups... je ne comprends plus rien :-) il y a deux versions illustrées ?
@fresseng @balbec@piaille.fr si tu lis l'édition illustrée par Larcenet je pense qu'il faut mieux de ne pas l'associer à la version originale. Pour moi c'est une "nouvelle œuvre" et je pense qu'elle doit se distinguer de l'originale. Mais ce n'est qu'un avis.