Catherine Rideau-Kikuchi started reading Stiletto by Daniel O'Malley

Stiletto by Daniel O'Malley
In this spirited sequel to the acclaimed The Rook, Myfanwy Thomas returns to clinch an alliance between deadly rivals and …
Romans et livres d'histoire principalement, en français et en anglais. Compte de @crideaukikuchi@sciences.re
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In this spirited sequel to the acclaimed The Rook, Myfanwy Thomas returns to clinch an alliance between deadly rivals and …
At the start of Australian author O’Malley’s impressive debut, a supernatural detective thriller distinguished by its adept use of humor, …
The Mysterious Affair at Styles is a detective novel by British writer Agatha Christie. It was written in the middle …
@PierreC@eldritch.cafe c'est inégal. La construction des Rainwild Chronicles est un peu bancale mais les personnages sont vraiment intéressants. J'ai beaucoup aimé Fool and the Fitz, même s'il y a quelques grosses ficelles parfois, mais c'est super bien construit par contre. Dans tous les cas, ça vaut le coup !
Je viens de passer les six derniers mois à (re)lire tout Robin Hobb. Je n'en ai pas trop parlé ici, parce que je les ai vraiment enchaîné. J'ai adoré me plonger toute entière dans cet univers construit au fil des 5 séries et 16 volumes. Et je suis un peu triste de le laisser partir...
En cet été de 1974, dans la banlieue irlandaise de South Boston, Mary Pat Fennessy mène une existence routinière. Un …
Centuries after the last humans left Earth, the Exodus Fleet is a living relic, a place many are from but …
"Why now ?" Sunny had asked of her profession, right before giving her the answer she'd always had: "Because you love it, and because it's our way, and that's reason enough". There wasn't maths or logic or any ironclad mesure of efficiency to black it yo. There didn't need to be.
— Record of a Spaceborn Few by Becky Chambers (Wayfarers, #3) (Page 339)
Eh bien c'était juste... génial. Le premier volume était sympa, mais celui-ci est beaucoup plus profond. Une réflexion sur la conscience, le libre arbitre, le sens de la vie... Le tout dans une intrigue prenante et un monde bigarré. Le tout sans mièvrerie, c'est un autre tour de force...
@PierreC@eldritch.cafe j'ai lu le premier cet été, qui est très sympa. Le deuxième a l'air encore mieux :) et je trouve que ça change pas mal de la SF que je connais !
Once, Lovelace had eyes and ears everywhere. She was a ship's artificial intelligence system - possessing a personality and very …
Je ne saurai sans doute jamais ce qui relève du traducteur ou de l'auteur... mais le rythme de ce texte est à la fois profondément angoissé sans être pour autant angoissant. On sait intimement que tout va mal se finir, et la fin arrive comme une libération. Enfin, être hors du monde. Enfin, être seul.
Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il …
Dans un livre à paraître, le sociologue Baptiste Brossard souligne d'ailleurs l'étrangeté qu'il y a à penser séparément la santé mentale et l'état du monde. On conçoit l'univers de la santé mentale comme un espace dépolitisé, hors sol, où n'existe que « l'individu en lui-même, parfois accompagné de sa famille proche », observe-t-il ; « dans les processus de soin et de guérison, le politique et le vivant ne font office que de contexte oublié et oubliable. »
— Résister à la culpabilisation by Mona Chollet (Page 240 - 241)
Je note ce paragraphe, bouleversant, à un moment où tout autour de nous, famille, milieu professionnel, réseaux sociaux, presse, s'accumulent départs, reconversions, quand ce ne sont pas carrément des retraits. Les motivations varient, de même que les symptômes — lassitude, dégoût, fatigue... — mais c'est partout comme si le Soi et le Monde ne pouvaient plus s'aligner naturellement, où, peut-être plus précisément, comme si les modèles précédents avaient atteint leur limites. Ce qui semble étayer cette hypothèse, c'est la réaction qu'elle suscite chez ceux qui en auraient été les bénéficiaires, ou chez leurs portes-parole, visiblement mortifiés que l'embrigadement ne prenne plus.
Je triche un peu sur les dates car je n'ai lu qu'un tome et demi de cette triologie qui explore le monde occidental avec les yeux d'un ethnographe venu de l'Amazonie. Avec des images souvent fixes ou proches les unes des autres et accompagnées de dialogues parfois assez longs, la narration a quelque chose de Fabcaro, si ce n'est que les aquarelles sont très douces, et que l'absurde qui émane de l'ensemble vise à nous faire prendre conscience de l'absurdité de notre monde occidental et, par corrélat, qu'il est plus que temps de défendre autre chose. (Les mésanges agressives sont à hurler de rire…)