Entre catalyseur de savoirs, passeur de compétences et ouvreur scientifique, j'aspire à l'exploration littéraire des futurs possibles, sans totalement exclure l'exploration future de possibles littéraires.
Mes alter egos, dans le Fédivers ou sur le web libre sont là : fressengeas.net
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Alfie est une lA de domotique dernière génération. Il filme tout, note tout, observe tout. …
D'une dystopie à l'autre, il va falloir me rendre à l'évidence : c'est un style que j'affectionne particulièrement. Ce sont en effet souvent des réflexions sur nous-mêmes, à la fois intelligentes et distrayantes.
Ici, l'IA vue de l'intérieur.
Les premières pages semblent cependant montrer que le lecteur risque d'être emmené un peu plus loin qu'annoncé...
Serait-ce l'influence de ma lecture précédente ? J'ai l'impression de commencer le préquel de #bikepunk.
C'est parti. Gardons bras et jambes à l'intérieur.
Un flash mystérieux a coupé toute électricité sur Terre, aveuglant au passage tous les adultes. …
Le livre dévoré en quelques jours à peine, c'est avec regret que je quitte l'univers de Gaïa et Thy. Ce fut un vrai régal !
J'avais beau déjà connaître et apprécier l'œuvre de @ploum@mamot.fr, j'ai été surpris --- très agréablement surpris --- par la qualité de l'intrigue, la portée de la réflexion technopolitique sous jacente, le rythme de la narration, la fluidité du style... En résumé : de la très bonne science fiction, à classer dans le rayon dystopie.
Un flash mystérieux a coupé toute électricité sur Terre, aveuglant au passage tous les adultes. …
Reçu il y a quelques jours par ma Petite Librairie, Bikepunk, de @ploum@mamot.fr, s'est immédiatement frayé un chemin au sommet de la pile de mes lectures prochaines, tant ma curiosité est grande.
Il faut dire que l'objet de papier, le livre lui-même, est très séduisant. C'est l'œuvre de @pvheditions@re.lire.im qui ont très joliment mis en valeur le talent de l'illustrateur @brunoleyval@piaille.fr.
Je suis particulièrement séduit par l'attrape rêve confectionné à partir d'un plateau et d'une chaîne de vélo qui orne la deuxième page du livre. Il orne aussi des polos et t-shirts, ainsi que le Fedivers me l'a dévoilé. Espérons qu'ils seront disponibles à la vente…
La machine à voyager dans le temps
L'île du Docteur Moreau
L'homme invisible
La guerre …
C'est avec La guerre des mondes que s'achève la lecture de ce recueil de quatre des plus grands romans de H.G.Wells. Des quatre, c'est ce dernier dont la redécouverte fut la plus intéressante. Peut être du fait de la modernité du récit, par delà les nombreuses années qui nous séparent de son écriture.
Toutefois, et bien qu'il faille évidement s'y attendre, le racisme et la misogynie ordinaires imprégnent toutes les pages, mettant en évidence le chemin parcouru depuis, même si nous ne sommes pas au bout du chemin.
Malgré tout, voici bien l'un des grands précurseurs de la science-fiction moderne. A relire pour les amateurs du genre, et à découvrir pour les autres !
« Un long hurlement, celui d’une foule d’enfants, secoue la planète. Dans les villes, le …
Une lecture envoûtante, entre onirique et fantastique
5 étoiles
J'ai découvert ce dernier Roman de Carole Martinez à travers un article de Télérama, qui le présentait comme une incursion de l'autrice dans l'univers de la science-fiction, qui m'est particulièrement cher. C'est ce qui m'a attiré vers lui, mais ce n'est en revanche pas ce qui m'a fait l'apprécier.
Non, cher Télérama, je ne déposerais pas cet ouvrage sur l'étagère de la science-fiction, malgré son côté dystopie, par le manque de vraisemblance des faits. Il n'est certes pas simple à classer. C'est un ouvrage qui entre de plain-pied dans l'univers du sommeil et du rêve, dont il épouse les codes : à classer donc sur l'étagère onirique. À défaut, s'il s'y retrouve esseulé, l'on pourra le qualifier d'incursion dans le domaine du fantastique.
C'est un Cri qui saisit tous les enfants du monde au cœur de leur sommeil, en suivant la rotation terrestre : un rêve synchronisé qui tisse …
J'ai découvert ce dernier Roman de Carole Martinez à travers un article de Télérama, qui le présentait comme une incursion de l'autrice dans l'univers de la science-fiction, qui m'est particulièrement cher. C'est ce qui m'a attiré vers lui, mais ce n'est en revanche pas ce qui m'a fait l'apprécier.
Non, cher Télérama, je ne déposerais pas cet ouvrage sur l'étagère de la science-fiction, malgré son côté dystopie, par le manque de vraisemblance des faits. Il n'est certes pas simple à classer. C'est un ouvrage qui entre de plain-pied dans l'univers du sommeil et du rêve, dont il épouse les codes : à classer donc sur l'étagère onirique. À défaut, s'il s'y retrouve esseulé, l'on pourra le qualifier d'incursion dans le domaine du fantastique.
C'est un Cri qui saisit tous les enfants du monde au cœur de leur sommeil, en suivant la rotation terrestre : un rêve synchronisé qui tisse l'intrigue. Nous suivons Lucie, qui a fui les violences familiales avec sa maman et s'est réfugiée au milieu des étangs camarguais. Entre ruptures et amours, nous suivons ce duo au sein d'une intrigue mêlant Camargue, Paris, et un brin d'international à la poursuite du rêve.
Difficile d'en écrire plus tout en préservant le plaisir de la lecture. Plaisir magnifié, je trouve, quand l'autrice fait pénétrer le lecteur au sein des rêves des enfants : un réalisme onirique saisissant ! Les autres pages ne sont pas en reste tant le style narratif flirte avec la poésie.
« Un long hurlement, celui d’une foule d’enfants, secoue la planète. Dans les villes, le …
"Dors ton sommeil de brute" est un titre extrait d'un vers de Charles Baudelaire qui se laisse déguster lentement, tant les indices sont distillés au compte-goutte. Une lecture envoûtante, entre onirique et fantastique, qui fait entrer le lecteur au sein des rêves des protagonistes, au sens propre.
« Un long hurlement, celui d’une foule d’enfants, secoue la planète. Dans les villes, le …
Pratique, une date d'anniversaire qui ne tombe pas loin de la rentrée (littéraire) ! Conjuguer avec la rubrique "À lire" de Bookwyrm. Mélanger et découvrir l'objet du désir au petit matin. (Merci à elle !)
Dors ton sommeil de brute, comme dirait Charles B. : un roman onyrique à mi-chemin de la science fiction, un roman qu'il me semble déjà connaître.
Premièrs chapitres camarguais... Et maintenant, le Cri...
L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres et de cadavres. Parmi …
J'ai choisi de déguster ce roman graphique après avoir profité du chef-d'œuvre de Cormac McCarthy, suivant l'hypothèse que la part d'imaginaire serait moins importante ici. Mais c'est un roman graphique, au sens épuré du terme, où la narration est essentiellement picturale. Je me demande donc si la part d'imaginaire n'est pas au moins aussi élevée dans cette bande dessinée. Peut-être aurait-il mieux fallu essayer l'ordre inverse… je ne le saurai jamais.
Quoi qu'il en soit, le graphisme de cet ouvrage est remarquable. L'atmosphère qu'il crée est, je trouve, assez similaire à celle dans laquelle le roman initial plonge le lecteur. Chaque page est une œuvre d'art en elle-même. J'ai beaucoup aimé.
Si d'aventure un lecteur de ces lignes l'a découverte avant le roman initial, je serais preneur de ses impressions.
L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres et de cadavres. Parmi …
Après le choc du roman, chef d'oeuvre s'il en est, voici sa traduction picturale. Un négatif du roman, en quelque sorte : une bande dessinée toute en noir et en blanc, surtout en noir, parsemée de textes parcimonieusement ciselés.
Un soir, en rentrant chez lui, Jason Dessen, professeur de physique, est agressé et kidnappé …
Dévoré en à peine une semaine à l'occasion d'un voyage international professionnel ! Un thriller efficace et délirant, mâtiné d'un verni de science fiction qui n'est pas déplaisant. Que les amateurs du genre ne s'y trompent néanmoins point au risque d'être déçus : c'est un thriller avec un peu de SF, et non le contraire. Un très bon moment de lecture, sans trop de prétentions.