LienRag a terminé la lecture de Batman: Year One par Frank Miller
Je viens de lire "Batman:Year One" et même s'il y a quelques grands moments de BD dedans, je préfère le film; au moins il fait moins semblant d'être réaliste, et il laisse moins de temps pour réfléchir.
Par ailleurs dans le film, Batman obtient la confession d'un méchant secondaire par la peur, dans la BD c'est nettement plus clair que c'est par la torture. Cela ne pose visiblement pas de problèmes à Miller, mais à moi nettement plus.
Et c'est marrant comme l'intro est claire sur le positionnement de Batman, probablement de façon involontaire : "from here, it's clean shafts of concrete and snowy rooftops. The work of men who died generations ago. From here, it looks like an achievement. I should have taken the train, I should be closer. I should see the enemy" ou comment bien expliquer que l'ennemi principal de Batman (et Miller) c'est la classe ouvrière... …
Je viens de lire "Batman:Year One" et même s'il y a quelques grands moments de BD dedans, je préfère le film; au moins il fait moins semblant d'être réaliste, et il laisse moins de temps pour réfléchir.
Par ailleurs dans le film, Batman obtient la confession d'un méchant secondaire par la peur, dans la BD c'est nettement plus clair que c'est par la torture. Cela ne pose visiblement pas de problèmes à Miller, mais à moi nettement plus.
Et c'est marrant comme l'intro est claire sur le positionnement de Batman, probablement de façon involontaire : "from here, it's clean shafts of concrete and snowy rooftops. The work of men who died generations ago. From here, it looks like an achievement. I should have taken the train, I should be closer. I should see the enemy" ou comment bien expliquer que l'ennemi principal de Batman (et Miller) c'est la classe ouvrière...
Les commentaires de Mazzuchelli à la fin sont quand même très bien vus je trouve :"Once a depiction veers towards realism, each new detail releases a torrent of questions that expose the absurdity at the heart of the genre." La chauve-souris qui rentre à travers une fenêtre en verre est certes un des grands moments de BD dont je parlais, mais le fait qu'elle ne soit même pas égratignée au passage fait quand même également sortir de la suspension d'incrédulité...