Balbec a terminé la lecture de La fille parfaite par Nathalie Azoulai
La fille parfaite de Nathalie Azoulai
Elle a dit, c'est génial finalement, considère qu'on est les deux filles d'une seule et même famille : l'une fera …
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40% terminé ! Balbec a lu 20 sur 50 livres.
Elle a dit, c'est génial finalement, considère qu'on est les deux filles d'une seule et même famille : l'une fera …
Primo, dans ma classe, il y avait trop de filles, des filles partout, des filles tout le temps. Avec leurs drames permanents, leurs dialogues maniaques, il m’a dit, je lui ai dit – pourquoi les filles restituent-elles les échanges avec un tel détail quand les garçons les résument ? – leurs allures de grappes sur les marches, les bancs dans la rue, leurs voix aiguës.
Sa mort a déclenché en moi un vrai siège à l’intérieur duquel le chagrin sinuait à peine. J’ai pensé que c’était l’affairement, toutes ces choses à organiser sous le choc, les membres gourds, l’œil perpétuellement rivé sur tout ce qui avait pu m’échapper : je bougeais, je parlais, mais tout était ralenti, mes pieds étaient pris dans la glace, ça ramait, ça n’avançait pas.
Elle a dit, c'est génial finalement, considère qu'on est les deux filles d'une seule et même famille : l'une fera …
Le récit est bien mené, efficace et parfaitement assaisonné de révélations qui nous font peu à peu découvrir la vie et la solitude de Makepeace. Cependant, ma seule déception réside dans l'absence d'originalité du monde post-apocalyptique décrit par l'auteur. On y retrouve tous les éléments habituels que l'on trouve souvent dans les romans et les séries après un effondrement. Cette image du héros solitaire – survivaliste – portant seul en lui ce qui reste de l'humanité, fait face à la dangerosité du groupe, indubitablement pourvu de tout ce qui caractérise le pire de l'être humain.
Roman d'aventures ou dystopie, voici LE western du Grand Nord. Un roman déjà culte. Steppes et taïga en lieu et …
"Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l'intelligence, et même le génie, c'est l'incompréhension."En juin 2021, un …
Et c'est dans ces moments-là que j'avais l'impression de comprendre un peu mon père, parce que le monde que je voulais ressemblait à celui qu'il devait avoir en tête quand il est parti pour le Grand Nord. Et je me suis rendu compte que ce n'était pas sa faute. C'était dans la nature même de notre époque. C'était dans la nature même des calamités qui avaient frappé notre planète. Les gens portaient toutes ces possibilités en eux, ange et démon, selon la direction que l'époque leur faisait prendre. Comme la graine qui fend le béton, c'est leur appétit pour la vie qui les rendait si destructeurs. Nous avions tous le malheur d'être nés à une époque où les ressources vitales étaient devenues très rares.
— Au nord du monde de Marcel Theroux (Page 107)
La dystopie est originale et bien trouvée, un modèle du genre, et elle est bien exploitée par l’histoire, qui est pleine de bonnes idées. Bon, on sent bien que certains détails techniques sont survolés, et d‘autres sont franchement tirés par les cheveux, mais le livre ne se réclame pas de la hard SF, et ça n’empêche pas de se laisser entraîner par l’intrigue.
Non, ce qui m’a vraiment dérangé c’est l’écriture : c’est lourd, il y a des longueurs pénibles, et d’une manière générale l’écriture des personnages manque de finesse. J’ai même failli lâcher le livre au début, et j’ai traîné à le terminer.
Au final, ce roman m’a laissé une impression mitigée, malgré ses bonnes idées.
Je fais encore jouer le pianola de temps à autre, il y a une boîte de rouleaux en état de marche, mais il est presque entièrement désaccordé. Je n'ai pas l'oreille assez bonne pour le régler, ni assez mauvaise pour que ça me soit indifférent.
— Au nord du monde de Marcel Theroux (Page 11)
Roman d'aventures ou dystopie, voici LE western du Grand Nord. Un roman déjà culte. Steppes et taïga en lieu et …
Bon, j'ai écouté l'émission et je suis assez dubitatif. Je n'ai pas du tout, mais pas du tout l'impression d'avoir lu le même livre que les deux critiques. Certaines remarques m'ont vraiment interloqué. Je crois que cette émission n'est pas pour moi.
Une plongée dans la vie de la communauté religieuse des Shakers, en Floride, au début du siècle dernier. Roman richement documenté où l'auteur lui-même semble éprouver une certaine fascination pour ladite communauté. Russell Banks a découvert les Shakers pendant ses études et il avait déjà écrit une première ébauche du roman dans les années soixante. J'ai souvent pensé à Proust. Non pas pour la forme, mais pour les thèmes de la mémoire et de la jalousie. Cette plongée dans le passé, via des souvenirs du principal narrateur, explore avec justesse les processus par lesquels nous nous remémorons notre jeunesse.
#VendrediLecture avec cette émission France-Culture pour savoir si vous devez lire « Le royaume enchanté », de Russell Banks : www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-midis-de-culture/critique-litterature-lisez-le-dernier-roman-de-russell-banks-grand-auteur-de-l-amerique-3154564 Attention, comme j'attendais d'avoir fini le livre pour l'écouter je ne peux vous dire à quel point les invités divulgâchent :-) #lecture #littérature #RussellBanks #podcast #radio #FranceCulture #BookWyrm #BookWyrmFR
En 1971, Harley Mann revisite son enfance et raconte l'installation de sa famille dans les marécages de Floride, à quelques …